Ilsimitent à la perfection les oiseaux de toutes tailles et de toutes origines. Il suffit de suivre les indications sur la notice pour entendre les sons les plus purs. Les appeaux de chasse en bois sont aussi des appeaux pour sanglier simples à utiliser et hygiéniques grâce au tube plastique. Ils sont soit en bois naturel non traité, soit
Pourla chasse aux oiseaux : Les oiseaux eux vous entendent donc il ne faut pas jouer a l'ours des sous boit lorsque vous le chasser. Exemple : *entend le batte
Lesoiseaux ont presque disparu de nos campagnes et les poissons se font rares Il faudrait peut-être mettre votre pendule à l'heure ! Il faudrait peut-être mettre votre pendule à l'heure
Lesanimaux. Les animaux sont emblématiques dans un jeu à environnement sauvage tel que Red Dead Redemption 2. On dénombre près de 200 espèces d'animaux dans le jeu, chacune ayant un comportement propre à son environnement. Outre les oiseaux, poissons, insectes et rongeurs, on retrouve aussi différents reptiles et mammifères.
Etplus particulièrement la relation entre le chasseur et le gibier qu’il traque et qu’il tue. La première distinction à poser dans cette relation entre le chasseur et les bêtes est la suivante: le chasseur a une véritable affection pour les animaux qu’il a domestiqué, son chien, sa meute, ses chevaux. Quant aux bêtes sauvages, il
Ilest strictement interdit de rapporter des denrées d’origine animale : produits carnés, produits laitiers et ce sous quelques formes que ce soit. Les sandwichs ou restes de repas font partie de cette interdiction. Il en va de même pour les produits d’origine animale, comme des cornes, des fourrures ou des cuirs non traités ou des trophées de chasse. Il est
oanIi7l. Perso je trouve ça triste les chasseurs de trophées, a mes yeux c'est une pratique vicieuse et illogique ... Généralement les mecs qui font ça, c'est pour 3 raisons Le mec adore le jeu et souhaite faire voir qu'il connait tout du jeu, du coup il fait la Platine de celui-ci. 2 Le mec qui a envie d'avoir un beau profil, e-penis, full complétion pour faire voir qu'il a un e-penis. 3 Le mec qui fait ça en défi perso, qui s'en fou de l'avis des autres, mais bon ... dans le fond non, c'est ça qui lui plait, de faire mieux que les autres. Là ou je trouve la pratiquement extrêmement conne c'est parce-que dans le fond, personne en à rien a foutre de votre profil, que vous ayez 0 platines ou 1000 ça change rien, vous n'êtes qu'un joueur de plus pour les autres, j'parle même pas des kheys qui font des jeux daubés a la platine facile pour en avoir plus, ou les kheys qui refusent de faire certains jeux car ils sont trop chiants a moi un jeu c'est de l'amusement alors oui y'en a qui se font vraiment plaisir en chassant les trophées, mais les dérives sont obligatoires, ne serait-ce que pour voir la liste des trophées a l'avance, le temps de platine du jeu, les guides etc etc, tu te gaches tout .... même l'excuse du " olol j'fait un run clean et je fait mes trophées sur le deuxiême run " c'est faux, un chasseur vérifie tout, le nombre de run a faire pour opti son temps, les collectibles et trophées ratables etc etc. Tombez pas dans ce cercle vicieux mes kheyillons ... vous êtes tous des joueurs a mes yeux, 1000 platine ou casu, complétion de 100% ou 10% ... vous faites pas chier pour ça D'ailleurs c'est pareil sur Play ou One hein, même Steam où les trophées sont encore plus cons car il existe certains logiciels pour les faire pop jouez pour vous faire plaisir mes amis, les jeux c'est fait pour ça, la réput, l'é-penis, c'est inutile, quelqu'un de bien a pas besoin de tout ces artifices a la con pour savoir ce qu'il vaut Et il n'est jamais trop tard pour faire marche arrière sur le sujet, moi aussi j'ai fait les platines a un moment
L’impact des chats domestiques sur l’avifaune est une réalité, mais les résultats des études qui tentent de le mesurer sont souvent contradictoires. Point de situation sur les conséquences que peuvent avoir nos minets sur les écosystèmes et la petite faune. Texte Martin Weggler résumé par Vincent Gillioz Article de courtoisie proposé par Wildtier Schweiz Le chat domestique et son instinct de chasse légendaire a eu depuis le début de l’époque moderne un impact massif sur la diversité des espèces indigènes, dans plusieurs zones du globe et plus particulièrement dans les îles. La faune d’Australie, de Nouvelle-Zélande de même que celle des archipels du Pacifique, de l’océan Indien ou des Caraïbes a souffert de la présence des chats domestiques apportés par les humains. La faune de ces îles qui n’abritaient pas ou peu de prédateurs à sang chaud n’était pas préparée à l’arrivée de Minet, qui s’est souvent régalé de ce qui lui était offert sur un plateau. Plus un archipel est isolé et les îles de petite taille, plus l’impact du chat introduit par les humains est important. Les oiseaux de mer, qui se rendent sur des îles isolées pour pondre à même le sol, sont particulièrement concernés. L’albatros des Chatham, qui ne se reproduit que sur une seule île dans le monde à 800 km au sud de la Nouvelle-Zélande, a par exemple fait les frais de l’arrivée de quelques chats sur son site de ponte. BirdLife International a identifié que sur les 183 espèces d’oiseaux disparues depuis le début de l’époque moderne, 112 le sont suite à l’arrivée du félin. La Liste rouge internationale de 2018 répertorie 1490 espèces d’oiseaux comme étant menacées, soit une espèce d’oiseaux sur huit, dont près de 15 % 222 précisément sont au bord de l’extinction. Près de la moitié de ces espèces correspond à des oiseaux marins nichant à même le sol. Elles sont presque partout menacées par l’introduction du rat, du chat, des viverridés, du porc ou du lapin, qui dévorent les oiseaux ou les œufs, ou posent un problème de concurrence alimentaire. De l’ancien au nouveau monde D’un point de vue global, le chat domestique est l’espèce animale introduite qui a eu l’impact le plus catastrophique sur son environnement. Par contre, l’influence du prédateur dans les régions où félidés, canidés et mustélidés ont toujours été présents est bien moindre. On sait par exemple qu’il n’y a que deux espèces européennes d’oiseaux complètement éteintes le grand pingouin et l’huîtrier des Canaries. Et leur disparition est due aux nuisances humaines et à une chasse outrancière, alors qu’en Amérique du Nord, dix espèces d’oiseaux nicheurs ont complètement disparu durant les deux derniers siècles, pour diverses raisons, dont l’arrivée des chats. Dans les zones continentales d’Eurasie, de nombreux prédateurs naturels occupent des niches alimentaires similaires à celle du chat depuis des millénaires. Dans nos contrées, le chat forestier, le renard, le blaireau, la martre des pins, la fouine, l’hermine, le hérisson, le rat, la souris, diverses espèces de hiboux et de chouettes, l’épervier, le faucon hobereau, le geai des chênes et autres corvidés, sans oublier le sanglier et les limaces, qui dévorent les couvées des espèces pondant au sol, sont concernés. À noter que notre chat domestique descend du chat ganté Felis lybica qui vit en Afrique du Nord et en Asie de l’Ouest. Le chat forestier Felis silvestris correspond, quant à lui, à une autre espèce de félins. Suivant l’être humain dans son expansion, le chat domestique Felis catus a vu ses effectifs augmenter, depuis neuf mille cinq cents ans en Europe et en Asie de l’Ouest, et à partir de l’époque moderne en Amérique. Le chat chasse quoi ? Le chat porte son dévolu sur des animaux nettement plus petits et légers que lui, essentiellement des rongeurs ou des léporidés dont le poids ne dépasse pas les 200 grammes. Au Royaume-Uni, le moineau, la mésange bleue, le merle et l’étourneau sansonnet sont les espèces les plus fréquemment victimes des chats. On estime que 30 % des moineaux retrouvés morts dans un village d’Angleterre ont été tués par des chats. Parmi les proies les plus lourdes, on dénombre quelques pigeons et canards. Quatre études réalisées en Suisse n’ont recensé que d’infimes quantités de vestiges d’oiseaux dans l’éventail des proies capturées par les chats. Un sondage effectué auprès des propriétaires de chats de Finstersee canton de Zoug a révélé que les chats domestiques, outre les aliments qu’ils recevaient à la maison, ramenaient au foyer en moyenne deux à trois animaux sauvages par mois, dont 11 % d’oiseaux. Le chat, comme tous les prédateurs, attaque généralement les animaux affaiblis, ou trop jeunes pour se défendre, afin d’optimiser ses dépenses d’énergie dans ses quêtes. Les chercheurs estiment encore que les pièges » tels que les vitres, immeubles, lignes à haute tension, éoliennes, torchères, filets de protection pour les vignes, impactent beaucoup plus les populations d’oiseaux dans le monde entier que les chats. Bénéfice du doute Une étude réalisée dans le canton de Fribourg a révélé que le chat pouvait consommer des quantités considérables de charognes, et que les oiseaux rapportés n’étaient ainsi pas toujours des victimes. D’autres études portant sur les interactions entre les prédateurs et leurs proies arrivent à la conclusion surprenante que le chat, dans certaines circonstances, pourrait assurer un rôle de protecteur des oiseaux. Dans la mesure où il consomme surtout des souris et autres micromammifères, il réduit le nombre de prédateurs dont l’appétit menace les couvées et les nids abritant des oisillons. Lorsque le nombre de chats diminue, les populations d’autres prédateurs augmentent. Dans les années 1950, un programme de déchattisation » mené sur l’île Amsterdam, dans l’océan Indien, visait à protéger les oiseaux nichant à même le sol. Le programme a été stoppé car la disparition des chats amenés par les humains a débouché sur une explosion de la population de rats. On retiendra donc que si le chat domestique est en mesure de décimer localement certaines espèces d’oiseaux, c’est surtout dans les écosystèmes fermés comme les îles qu’il peut poser problème. Dans les régions continentales, son impact est moindre. À propos de l’auteur Martin Weggler est ornithologue, directeur d’Orniplan à Zurich. Il suit depuis 1986 l’évolution des effectifs de toutes les espèces d’oiseaux nicheurs du canton de Zurich. Il a enregistré depuis dix ans en Valais la mortalité et la fécondité d’une population de rouge-queues noirs en baguant la totalité des adultes et des jeunes, permettant ainsi de déterminer les pertes dues aux chats.
LA CHASSE UN PROBLèME MORTEL Depuis des années, la Fondation Brigitte Bardot combat le lobby de la chasse pour faire cesser des pratiques cruelles et archaïques, nuisibles à l’environnement et désapprouvées par une majorité de la chasse tue des millions d’animaux chaque année en France, visant de manière absurde des espèces soi-disant nuisibles, elle est aussi responsable de la mort d’êtres humains. On compte tous les ans dans notre pays une centaine d’accidents de chasse, causant une dizaine de morts et de nombreuses blessures graves. En 20 ans, plus de 410 personnes ont perdu la vie lors d’un des 2 792 accidents de chasse recensés par l’ONCFS Office national de la chasse et de la faune sauvage ! On va tuer des animaux innocents pour le loisir, pour le plaisir. C'est immonde. La chasse, c'est un assassinat légal. » Brigitte Bardot Présidente de la FBB LA FONDATION BRIGITTE BARDOT demande au gouvernement la déclassification de toutes les espèces dites nuisibles » ;l’interdiction des chasses traditionnelles » et cruelles chasse à courre, vénerie sous terre, etc. ;l’interdiction de toute forme de piégeage ;l’interdiction des lâchers de gibier d’élevage ;l’arrêt de la chasse le dimanche, où sont recensés le plus d’accidents ;la mise en place d’un permis de chasser à points et du contrôle alcootest des chasseurs. Cela fait 50 ans que le nombre de chasseurs ne cesse de diminuer, pourtant leurs prérogatives se renforcent. Selon l’Observatoire National de la Chasse et de la Faune Sauvage ONCFS, un peu moins de 1,1 millions de chasseurs détiennent un permis de chasse en 2018. Soit à peine 1,7% de la population !Entrée en vigueur le 11 juin 2019, la baisse de moitié du prix du permis de chasse pour la formule complète petit et grand gibier » est un cadeau électoral d’Emmanuel Macron aux chasseurs. Et une preuve supplémentaire de l’influence du lobby de la chasse jusqu’au plus haut sommet de l’État. Elisabeth Borne, ministre chargée de l’Écologie à partir de juillet 2019 en remplacement de François de Rugy, le prouve à nouveau dès le 20 août suivant en invitant Willy Schraen, président de la Fédération nationale des Chasseurs, sans même répondre aux demandes d’entretien des associations et ONG de protection des animaux et de l’environnement. La politique pro-chasse du gouvernement est toujours en marche… arrière ! Puis, par arrêté signé le 31 juillet 2019, Elisabeth Borne autorise la chasse de 6 000 Courlis cendrés à partir du 3 août suivant, sourde aux avis scientifiques alarmant sur le mauvais état de conservation de l’espèce. La Ligue pour la Protection des Oiseaux – LPO attaque cet arrêté, qui sera suspendu fin août par le Conseil d’État. La ministre n’en reste pas là, puisqu’elle s’apprête à la fin de l’été 2019 à prendre un nouvel arrêté permettant de tuer 30 000 Tourterelles des Bois, alors que l’espèce est menacée d’extinction au niveau mondial et inscrite sur la liste rouge de l’UICN. Ulcéré par l’omniprésence du lobby chasse à l’Elysée, Nicolas Hulot quitte ses fonctions de ministre de la Transition Écologique en août 2018. Il est remplacé par François de Rugy, dont les premières décisions clairement pro-chasse révèlent la complicité de la présidence d’Emmanuel Macron avec le lobby des chasseurs. La chasse aux voix électorales est également le sport favori des politiques…Forte de cette complicité, la Fédération Nationale de la Chasse FNC multiplie les provocations campagne de communication présentant les chasseurs comme les premiers écologistes de France, annonce de la réouverture des chasses présidentielles financées par la République, baisse de moitié du prix du permis de chasse national, prosélytisme pro-chasse dans les écoles, 2 novembre 2018, la FBB et 74 organisations et associations de protection animale ont réagi en s’alliant pour publier un Manifeste contre les excès et provocations de la chasse pdf qui remet en cause la politique cynégétique française. Le 2 novembre 2018, la FBB et 74 organisations et associations de protection animale ont réagi en s’alliant pour publier un Manifeste contre les excès et provocations de la chasse pdf qui remet en cause la politique cynégétique française. En avril 2019, un nouveau coup est porté à la faune sauvage de notre pays les Sénateurs dénaturent le projet de loi consacrant la fusion entre l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage ONCFS et l’Agence Française de la Biodiversité AFB en janvier 2020. Le 19 avril suivant, la Fondation Brigitte Bardot et 44 autres ONG signent une réaction commune pdf, demandant au gouvernement, qui a le dernier mot, d’en revenir au consensus sorti de la première lecture à l’Assemblée défaut, toutes les espèces seraient susceptibles d’être chassées à partir du moment où elles sont en bon état de conservation ou posent des problèmes », comme les espèces classées nuisibles. Des dérogations seraient accordées pour chasser les oiseaux migrateurs après la fermeture de la chasse et les modes de chasses traditionnelles chasse à la glu, étranglement avec des collets, écrasement des oiseaux sous des pierres plates… entreraient dans le patrimoine cynégétique national ».Il serait même instauré un délit d’entrave à l’action de chasse puni de un an d’emprisonnement et 30 000€ d’amende !. La France détient de tristes records de chasse en Europe 30 millions d’animaux sont tués chaque saison et 5 millions sont blessés. 20 millions d’animaux tués par les chasseurs sont élevés, puis relâchés dans la nature pour être tirés à vue 14 millions de faisans, 5 millions de perdrix grises et rouges, 1 million de canards colvert, 40 000 lièvres de France, 100 000 lapins de garenne, 10 000 cerfs et 7 000 daims… Notre pays autorise également la saison de chasse la plus longue d’Europe 9 mois de permis de tuer dans la nature ! Certaines périodes de chasse sont régulièrement étendues, comme celles qui concernent les oiseaux migrateurs. Début 2019, un arrêté du ministère de la Transition écologique et solidaire tente pour la 12ème fois ! de prolonger jusqu’à fin février la chasse des oies cendrées, pourtant fixée par un décret européen à fin janvier. Aussitôt, Brigitte Bardot exprime son indignation dans une lettre ouverte au ministre François de Rugy pdf. Saisi par les défenseurs de la faune sauvage, le Conseil d’État finit par suspendre cet arrêté, qui aurait permis aux chasseurs de tuer 4 000 oies cendrées supplémentaires ! Oies cendrées Notre pays est enfin le seul en Europe où la chasse est autorisée tous les jours de la semaine, même le dimanche !Le principe d’un jour national sans fusil, adopté par la loi Voynet sur la chasse en 2000, a en effet été supprimé par la loi Bachelot dès 2003. Pratiquée le mercredi, jour de sorties scolaires, ou les samedi et dimanche, quand familles et amis font des sorties nature, la chasse met tout simplement en danger des vies humaines. La population des milieux ruraux est la première à être victime des chasseurs. D’autant plus que, depuis 1982, il n’existe plus de périmètre de sécurité autour des habitations ! UNE CENTAINE D'accidents DE CHASSE PAR AN Un homme de 77 ans abattu par un chasseur alors qu’il cueillait des champignons novembre 2019, un cycliste tué par un tir lors d’une battue au gros gibier octobre 2018, une femme de 69 ans tuée dans son jardin par un chasseur croyant voir un cerf à travers une haie octobre 2017, une fillette de 10 ans grièvement blessée par un chasseur tirant sur un faisan alors qu’elle pique-niquait avec sa famille septembre 2018… Tous les ans, les accidents de chasse causent des centaines de blessures graves et plus d’une dizaine de morts ! La saison de chasse mai 2018-juin 2019 a provoqué 131 accidents corporels, dont 7 décès. Ce triste bilan est en hausse par rapport à la saison 2017-2018, qui avait causé 113 incidents accidents, dont 13 mortels. La saison 2019 vient de commencer, et l’on déplore déjà deux morts et plusieurs blessés…Près de 60 % des accidents de chasse ont lieu le dimanche, lorsque la nature est fréquentée par des familles en promenade, des randonneurs, des joggeurs ou des cyclistes. L’État doit garantir à tous la liberté de se promener en forêt, ou de pratiquer un sport ou un loisir dans la nature, en toute sécurité ! Les chasseurs, qui représentent 1,5 % de la population, empêchent 98,5 % des Français de profiter des activités de plein air en toute sécurité. » Christophe Marie Porte-parole de la FBB Un sondage IFOP réalisé pour la Fondation Brigitte Bardot en novembre 2017 révèle que 71 % des Français se sentent en insécurité lorsqu’ils se baladent dans la nature en période de chasse. 79 % des personnes interrogées sont favorables à la réduction de la durée de la période de chasse et 82 % se prononcent en faveur du dimanche comme journée non chassée. Renard roux d'Europe 84 % des sondés se disent contre la pratique de la chasse à courre, considérée comme une pratique % des Français interrogés sont également opposés à la réglementation qui autorise toute l’année la destruction de 18 espèces classées nuisibles et 89 % se prononcent pour l’interdiction de la chasse aux trophées et leur importation en France, qui est le 5ème pays importateur d’Europe !Enfin, 78% des sondés se déclarent favorables à la reconnaissance du statut d’être vivant et sensible à tous les animaux sauvages. Qui peut prétendre qu’une fouine, un lapin, un pigeon ou un renard n’est pas un être vivant doué de sensibilité ? » Brigitte Bardot Présidente de la FBB Dans notre pays, toute l’année et même hors période de chasse, entre 600 000 et un million de renards sont tués en toute impunité, au détriment de leur rôle fondamental dans l’équilibre de la nature. Comme d’autres espèces de la faune sauvage locale – actuellement 12 mammifères et 6 oiseaux – le renard est classé espèce nuisible » par le ministre de l’Environnement ou le préfet de département. La catégorie nuisible » n’a aucun fondement écologique et scientifique. Elle signifie simplement susceptible d’occasionner des dégâts dans les activités humaines forestières, agricoles et aquacoles » ! Ces animaux sont victimes d’une vision spéciste, plaçant l’intérêt de l’homme au-dessus de celui de toutes les autres espèces, en déniant aux animaux le droit fondamental de vivre en liberté dans leur environnement naturel. L’État offre aux chasseurs un permis de tuer en toute impunité des espèces traquées dans leur habitat. Chaque année, dans nos campagnes, sont ainsi massacrées des dizaines de milliers de ratons laveurs, visons d’Amérique, belettes, fouines, sangliers, bernaches du Canada, étourneaux sansonnet, corneilles noires, pies bavardes… En octobre 2017, Brigitte Bardot écrit une lettre ouverte à Nicolas Hulot pdf, alors ministre de la Transition Écologique et Solidaire, lui demandant d’agir immédiatement sur deux points essentiels suppression des listes d’espèces dites nuisibles » ; reconnaissance, dans le code de l’Environnement, du statut d’être vivant doué de sensibilité aux animaux sauvages dans une logique de cohérence des codes Civil, Rural. François de Rugy, son remplaçant, va réussir un tour de force avant son départ précipité du poste de ministre de la Transition écologique. Il classe plusieurs mammifères et oiseaux sauvages – martres, putois, belettes, corneilles noies, pies bavardes, étourneaux sansonnets… – dans les espèces dites nuisibles », dont le piégeage est encore une fois autorisé du 1er juillet 2019 à juin 2002 ! Rien n'avance ! On va continuer à avoir plus de 60 espèces d’oiseaux chassables en France, contre 15 en moyenne dans les autres pays européens. » Christophe Marie Porte-parole de la FBB Les méthodes de chasse actuellement autorisées sont cruelles et archaïques déterrage, piégeage à appât dans une cage ou à mâchoires qui tuent, piège à la glu, tir par armes à feu ou tir à l’arc, etc. La Fondation Brigitte Bardot condamne toutes les pratiques cruelles qui existent encore et qui font souffrir des milliers d’animaux chasse à courre, vénerie sous terre, chasses traditionnelles et la destruction des animaux dits nuisibles » par piégeage, déterrage ou par toxiques. Le déterrage ou vénerie sous terre est un mode de chasse particulièrement ignoble. Le renard ou le blaireau est acculé au fond d’un terrier par des chiens, puis les chasseurs creusent une tranchée pour l’extirper avec une pince métallique avant de le tuer à coup de fusil ou de couteau. Grive musicienne piégée par la glu Les chasses traditionnelles ne sont pas sélectives de nombreux oiseaux d’espèces protégées peuvent également être capturés. La chasse à la glu est un calvaire pour les oiseaux pris au piège, qui se retrouvent collés par les pattes ou les plumes. En janvier 2019, Brigitte Bardot adresse une lettre ouverte au Conseil d’État pdf pour dénoncer cette pratique barbare, toujours autorisée dans quelques départements français. Pour la tenderie aux vanneaux, les appelants sont attachés par la queue à une ficelle reliée au chasseur et leur agonie peut durer des heures. Particulièrement brutale, la chasse à courre, à cor et à cri est abolie dans plusieurs pays d’Europe Allemagne, Grande-Bretagne, Belgique…, mais toujours légale en France. Le principe ? Une meute de chiens traque un animal sauvage jusqu’à son épuisement et sa mise à mort. Le cerf, le chevreuil, le sanglier ou le renard victime de cette tradition barbare connait alors une fin atroce. Il va mourir déchiqueté par des dizaines de chiens, noyé dans un étang ou abattu par des chasseurs à cheval. 84 % des Français se déclarent contre la chasse à courre. Les Français et la chasse - Novembre 2017 Sondage IFOP pour la Fondation Brigitte Bardot La chasse à courre ou vénerie est pratiquée du 15 septembre au 31 mars. Elle compte près de 400 équipages sur 68 départements et utilise environ 17 000 chiens et 6 000 chevaux. Ce mode de chasse intervient en pleine période de gestation et de mises bas des espèces animales chassées, causant d’irréparables dégâts à la biodiversité de nos campagnes. De plus, les conditions de vie des chiens de chasse à courre sont incompatibles avec leur bien-être enfermement, promiscuité. Cerf aux abois Dès 2005, la Fondation Brigitte Bardot fut à l’initiative de la toute première proposition de loi visant à interdire la pratique de la chasse à courre. D’autres projets de loi furent présentés à l’Assemblée nationale en 2010, 2013 et 2017, sans succès. En décembre 2017, la FBB et 20 organisations françaises de défense des animaux ont à nouveau lancé un appel unitaire pour abolir la chasse à courre en France au ministre de l’Environnement. Non, les chasseurs ne sont pas les premiers écologistes de France comme a tenté de le faire croire une de leurs sinistres campagnes de communication ! L’élimination des animaux dits nuisibles » alors qu’ils ne le sont pas, les régulations censées préserver la biodiversité alors qu’elles ciblent des espèces en voie de disparition, les réserves naturelles aux mains des chasseurs… Les cartouches de fusils représentent 10 000 tonnes de plomb et de plastique répandus dans les forêts et les zones humides de France, selon l’Agence européenne des produits chimiques ECHA. L’impact délétère de la chasse sur l’environnement est une autre raison justifiant son strict chasse en France n’est pas intouchable. Avec d’autres associations et ONG, la Fondation Brigitte Bardot a pour objectif de faire prendre conscience aux Français que la chasse est cruelle, dangereuse et inutile. Crédits photos RAC, ASPAS, Shutterstock/Nate Allred, Sebastian Pociecha, Creative Commons/Sigalou.
Depuis plusieurs années, le chien de chasse gagne en popularité auprès du grand public. Son endurance et ses qualités physiques exceptionnelles lui ont permis de se faire une place auprès des personnes très actives. Vous recherchez un compagnon pour suivre le rythme effréné qu’est le vôtre ? Ou alors vous êtes féru de chasse et vous avez besoin d’un canidé pour vous accompagner ? C’est par ici ! Voici une liste de douze races des meilleurs chien de chasse, aussi bien adaptées aux activités cynégétiques qu’à la vie d’une famille sportive ! Table des matièresÀ la chasse, chacun son rôle1. Le Beagle2. Le Basset Hound3. Le Bruno du Jura4. Le Griffon Fauve de Bretagne5. Le Braque allemand6. L’Épagneul breton7. Le Setter anglais8. Le Pointer anglais9. Le Golden Retriever10. Le Cocker anglais11. Le chien d’eau portugais12. Le Barbet À la chasse, chacun son rôle Avant de commencer, il est bon de préciser que tous les chiens de chasse ne se valent pas. Chaque race a ses propres facilités et attributs spécifiques. D’ailleurs, les chiens chasseurs sont classés en trois groupes selon le rôle qui leur est attribué au court d’une action de chasse. En premier lieu, nous avons les chiens courants et les chiens de recherche de sang. Ces canidés ont un excellent odorat. Ils s’en servent pour débusquer des proies sur plusieurs kilomètres. Ils suivent alors la piste et font fuir leur proie jusqu’à ce que celle-ci croise la route du chasseur. Ils sont particulièrement efficaces pour les gibiers à poil. Ils sont très endurants et sont capables de courir sur de longues distances. Pour ces raisons, ils ont besoin de se dépenser énormément. Ils ont aussi tendance à fuguer s’ils ne sont pas bien éduqués au rappel. Ensuite, il y a les chiens d’arrêt. Ils sont doués pour repérer le gibier à plume. Lorsqu’ils l’ont débusqué, ils s’immobilisent et incitent ainsi la volaille à faire de même. C’est le temps dont a besoin le chasseur pour intervenir. Enfin, le troisième groupe rassemble les chiens leveurs et les chiens rapporteurs. Ce sont les animaux qui vont trouver et rapporter les proies, aussi bien sur la terre que dans l’eau. Généralement, les mammifères de ce groupe sont dociles et très attachés à leur maître. Vous l’aurez compris, avant de choisir votre chien, il est important de vous demander ce que vous voulez faire avec lui. Qu’il s’agisse de chasse ou de compagnie, le but est de trouver un animal dont le caractère combine avec le vôtre. Ci-dessous, voici quatre races pour chaque groupe de chiens chasseurs. 1. Le Beagle Emblème de la chasse, le Beagle est un petit chien alerte et endurant. Il fait partie du premier groupe. À ce titre, il participe souvent à des activités de chasse à la courre. Assez court sur pattes, il a tendance à se faire distancer par les gros gibiers. En revanche, il se démarque sur les petites proies comme le lapin. C’est un animal domestique facile à éduquer. Il est intelligent et doux, bien que très vif. Il aime être entouré d’autres animaux ou d’enfants. Très énergique, il a besoin d’espace et de beaucoup se dépenser. Il a aussi une place de choix dans notre sélection des meilleures races de chiens anglais. 2. Le Basset Hound Avec ses longues oreilles tombantes, le Basset Hound a l’air d’un chien tranquille et pantouflard. Pourtant, ses pattes puissantes lui permettent de pister sa proie sur de longues distances. Classé dans la catégorie des chiens courants, le Basset est reconnu pour sa ténacité. En famille, il est calme, bien que têtu. C’est également un animal joueur et enthousiaste qui s’entendra très bien avec les enfants. Ce dernier à lui sa place de premier choix dans notre top des races de chiens Français. 3. Le Bruno du Jura Autre chien courant aux longues oreilles, le Bruno de Jura est un compagnon de chasse très sportif. Il est capable de courir longtemps sur des terrains accidentés et escarpés. Sa renommée lui vient d’ailleurs de Suisse. Le Bruno de Jura est facile à éduquer. Il est loyal à son maître mais il montre peu de marques d’affections. C’est un animal doux et calme, bien qu’il dispose d’une immense réserve d’énergie. Il a besoin de courir et de se dépenser. Bref, c’est le chien idéal pour accompagner vos ballades à vélo ! 4. Le Griffon Fauve de Bretagne Dernier chien courant de notre liste, le Griffon Fauve de Bretagne est un canidé très ancien, bien que peu commun. Reconnaissable par ses grandes moustaches, le Griffon était autrefois utilisé pour chasser le loup. C’est un mammifère d’une cinquantaine de centimètres dont le corps est taillé pour l’endurance. Il s’adapte tout à fait à la vie domestique, bien qu’il ait besoin d’être beaucoup stimulé. Sa vivacité en fait un bon gardien. Il est intelligent et très sociable. 5. Le Braque allemand Grand molosse de plus soixante centimètres, le Braque allemand excelle dans la chasse du gibier à plumes. Il fait partie du deuxième groupe. Pourtant, il est reconnu pour être un chasseur polyvalent. Il est d’ailleurs capable d’occuper toutes les fonctions pour lesquelles vous l’éduqueriez. Il peut, par exemple, pister le sanglier. En famille, il s’illustre par un caractère équilibré. Il est sociable et intelligent. Son éducation est facile pour peu qu’elle soit entreprise tôt. C’est le partenaire idéal pour de longues sorties sportives il est infatigable ! 6. L’Épagneul breton C’est le chien d’arrêt français le plus répandu sur la planète. L’Épagneul breton est considéré comme la crème de la crème ». Excellent sur les travaux d’arrêt, il s’épanouit également avec les gibiers à poil. Il est efficace sur tous les terrains, y compris les marais. Il est également capable de chasser plusieurs jours d’affilée. À la maison, c’est un chien dévoué à son maître. Il fera tout pour le satisfaire. Il est nerveux et énergique mais très amical, y compris avec les étrangers. 7. Le Setter anglais Souvent cité comme le plus beau des chiens d’arrêt, le Setter anglais est un chasseur polyvalent. Il s’adapte à tous les environnements marais, bois, plaines… Ses poils, assez longs, le protègent des ronces et lui permettent de s’aventurer un peu partout. C’est un canidé câlin qui a bon caractère. Il a besoin de beaucoup d’attention pour être heureux. 8. Le Pointer anglais On termine avec un molosse de Grande-Bretagne pour clôturer le deuxième groupe. Le Pointer anglais fait partie de l’élite des chiens d’arrêt et rencontre un franc succès ! C’est un animal athlétique qui peut atteindre la taille de soixante-dix centimètres. Il est apprécié pour sa polyvalence et sa vitesse. Son gros point fort ? Il supporte tout type de climat, y compris la chaleur. À la maison, le Pointer anglais est pacifique et sociable. Son éducation est une des plus facile. Comme les autres canidés de chasse, le Pointer anglais a suffisamment d’énergie pour vous suivre dans toutes vos sorties sportives ! 9. Le Golden Retriever Pour ouvrir le troisième groupe, nous avons choisi le Golden Retriever. Ce chien rapporteur s’illustre dans les environnements aquatiques. Il est particulièrement apprécié pour la chasse au canard. Le Golden est un animal affectueux et joueur. Son talent pour rapporter » et sa docilité lui valent d’être utilisé comme animal d’assistance pour les personnes handicapées. C’est un canidé attentif et doux. 10. Le Cocker anglais Le Cocker anglais, aussi appelé, Épagneul Cocker anglais, est un leveur de gibier. Petit et bon nageur, il convient particulièrement pour la chasse à la hutte, pratiquée la nuit. Le Cocker est affectueux et démonstratif. Joueur infatigable, c’est un animal qu’il peut être difficile de canaliser tant il déborde d’enthousiasme et d’énergie. 11. Le chien d’eau portugais Voici un chien peu connu en dehors des frontières portugaises. Pourtant, ce canidé est un plongeur talentueux doté de sang-froid. Par réflexe, il saute dans l’eau pour ramener les proies ou les objets tombés. C’est donc un rapporteur inné. En dehors de la chasse, le Cão de Água » est connu pour son affection infinie. Il s’adapte à sa famille, l’accompagnant dans les activités sportives autant que dans celles plus calmes. 12. Le Barbet Dernier canidé de notre liste, le Barbet est un excellent leveur de gibier. Compétant dans les broussailles comme dans l’eau, il convient parfaitement pour les eaux profondes ou les marais envahis de roseaux. C’est un animal déterminé et alerte. Dans son foyer, le Barbet est gai et joueur. Il ne jure que par son maître pour lequel il se plierait en quatre. Il supporte mal la solitude et a besoin d’être beaucoup stimulé. Et vous, vous voulez adoptez un chien de chasse ? À quelle race pensez-vous ?
La richesse et la grande diversité de la faune sauvage en France expliquent l'engouement de plus d'un million de chasseurs sur tout l'hexagone. Si toutes les chasses sont différentes, c'est qu'il existe une grande variété d'espèces qui se sont adaptées au biotope dans lequel elles évoluent plaine, forêt, montagne, zone côtière... Au total, on estime à près de 90 le nombre d'espèces chassables sur tout l'hexagone. Si les impératifs de la gestion ne doivent pas empiéter sur le plaisir de l'action de chasse, il convient à tout bon chasseur d'avoir un minimum de connaissance des espèces qu'il sera amené à rencontrer au cours de ses pérégrinations. Pour cela, nous avons décidé de classer les espèces dans les cinq grandes catégories qui suivent. Une sixième catégorie plus spéciale traitera des prédateurs ou des espèces accusées de déprédation souvent considérées en France comme qui nourrit encore l'imaginaire de l'homme, le sanglier est un gibier à part, qui intrigue, fascine et qui rend mordus les chasseurs qui le chassent. Les dénominations sont nombreuses et dépendent souvent des régions sanglier, cochon, goret, bête noire, singlar, techou... Le sanglier voit son nom évoluer au fil des âges. Les premiers mois de sa vie, il prend le nom de marcassin ; quand il perd son pelage rayé, il s'appelle bête rousse, enfin la femelle devient laie à l'âge adulte et le mâle, un animal massif au pelage brun foncé impressionne quiconque le rencontre. Essentiellement nocturne, il s'est adapté à l'activité humaine pour avoir à la rencontrer le moins souvent possible. Pour ce qui est de son alimentation, on dit de lui que c'est un omnivore opportuniste, il mange pratiquement tout ce qui lui tombe sous la dent fourrage, fruits forestiers, céréales, et même nourriture d'origine animale. Cependant sa préférence va aux glands et aux dimorphisme sexuel n'est pas flagrant, on peut juste constater que la laie a une tête plus fine et plus allongée et que ses épaules sont moins hautes et le dos moins arrondi que le mâle. C'est surtout au niveau du bas ventre que l'on pourra différencier sans se tromper le mâle de la femelle ; l'un portant un pinceau pénien pourvu d'une touffe de poils et l'autre portant des tétines allaites plus ou moins visibles si la laie a déjà mis bas. Généralement c'est à l'âge adulte et au niveau du poids que la différence morphologique peut se faire. Alors qu'une vieille laie peut atteindre la barre des 100 kilos, on peut exceptionnellement rencontrer des mâles dont le poids oscille autour des 150 kilos. Le vieillissement des populations étant sérieusement remis en cause par la pression exercée par la chasse, le sanglier est un animal qui atteint rarement sa pleine maturité morphologique et physiologique. Un individu vieux n'est pas pour autant gros, et il en est de même pour le contraire, on peut rencontrer des sangliers gras qui n'ont que quelques estimer l'âge d'un individu, on se tournera vers sa dentition. La présence d'un certain nombre de molaires et l'usure de ses défenses et ses grès indiqueront si la bête noire a plus de trois ans ou non. Pour une évaluation réelle de l'âge, seule la pesée du cristallin, seul organe ayant une croissance continue, livrera la d'une grande facilité d'adaptation, on retrouve le sanglier dans tous les biotopes, que ce soit en montagne, dans la vallée, dans les marais, dans les cultures. Tant qu'il y a de l'espace pour vivre tranquillement et de la nourriture et de l'eau à proximité, tout est bon pour cet animal hirsute. Toutefois, on estime son espace vital à près d'une dizaine de milliers d' ce qui est de sa reproduction, une laie peut aujourd'hui avoir jusqu'à deux portées dans l'année et trois tous les deux ans de quatre à six marcassins. Sa période de gestation est semblable au porc domestique, lointain cousin, elle dure trois mois, trois semaines et trois jours. Cette intense activité explique que l'activité cynégétique a une grande responsabilité dans la gestion de l'espèce qui ne connaît à part l'homme, aucun pression de la chasse sur le sanglier est de plus en raisonnée. Les populations sont gérées d'un point de vue quantitatif et qualitatif, on cherche à faire diminuer les populations en épargnant les animaux dans la force de l'âge et qui peuvent perpétuer l'espèce. Pendant la saison 2012-2013, il a été prélevé en France près de 600 000 chasse ne fait pas tout, le point noir du sanglier en France comme ailleurs vient de sa faculté à commettre d'importants dégâts aux cultures. On estime chaque année à plusieurs millions d'euros, l'addition des dégâts qui est uniquement payée par les chasseurs eux-mêmes. Le plan national de maîtrise du sanglier a été initié par le ministre de l'Ecologie et du Développement durable, M. Jean-Louis Borloo, en 2009 pour répondre aux problèmes de la surabondance de l'espèce et des dégâts qu'elle occasionne aux cultures. Il instaure un cadre d'actions techniques pour agir au plan départemental sur le de la forêt, le cerf élaphe lat. Cervus elaphus fascine par son élégance, sa grandeur, la puissance de son brame et par son couronnement de bois sur la tête. Par conséquent, sa chasse est empreinte de respect et d'éthique. On ne prélève pas un cerf comme l'on peut aligner les coups de carabine sur une compagnie de sangliers. Un cerf coiffé inspire le respect du chasseur qui apprécie le trophée selon des critères bien établis. Le nombre de pointes ou andouillers, appelés " cors ", peut atteindre parfois 20 cors chez les vieux animaux. La teinte des pointes, la masse et la régularité des bois font également partie de ces critères domaine vital d'un cerf élaphe est très grand, parfois de l'ordre de quelques milliers d'hectares. C'est pour cette raison qu'il ne peut s'établir partout et on le retrouve en France dans les régions pourvues de massifs forestiers de moyenne altitude et dotées de grandes plaines. Friand de petits feuillus, d'herbage, ou encore de céréales ou de colza, sa présence peut être la cause de nombreux dégâts. Côté mensuration, on se demande comment il peut encore passer inaperçu dans les bois entre 1,20 m et 1,40 m au garrot pour un poids excédant la plupart du temps les 100 kilos !Le brame est certainement ce que l'on connaît le plus du cerf, qui peut se reproduire jusqu'à la mort environ 20 ans. Quand il entre en période de reproduction, il quitte ses lieux de replis au fond des bois pour se rapprocher des places de brame connues et pour attirer l'attention sur lui des biches. Dès le début du mois de septembre, ce sont les plus vieux mâles qui entrent d'abord en action. Ce processus bruyant intervient dès la tombée de la nuit et c'est l'occasion pour de nombreux amoureux de la nature de l'observer sans le gêner pendant son brame. A cette occasion, les biches en chaleur sont saillies et entrent en gestation pour une période de huit mois. Les premières naissances ont alors lieu dès la fin du mois de mai. Chaque biche met bas un seul faon, un mâle qui deviendra daguet dès la première pousse des bois puis cerf, ou une femelle que l'on appellera bichette les deux premières années de sa vie, puis prélèvement, les chiffres sont en constante augmentation chaque année depuis trente ans. Soumis à plan de chasse, on estime que pour la bonne gestion et le maintien des populations de cerf, il convient de prélever un tiers de faons, un tiers de biches et bichettes et un tiers de daguets et de cerfs. Le réseau " Ongulés Sauvages " qui communique annuellement sur la réalisation des tableaux de chasse du grand gibier, indique un prélèvement de l'ordre de 56 000 cerfs pour la saison 2012-2013, c'est plus du double des prélèvements effectués en 1996. Ceux-ci sont importants là où les effectifs sont importants, c'est-à-dire dans la région de la Sologne, dans les Vosges et l'Alsace, et dans le massif d'Extrême-Orient, ce cerf asiatique lat. Cervus nippon est plus petit que le cerf élaphe que l'on rencontre dans nos forêts. Si sa présence en France n'est qu'anecdotique, on cherche cependant à empêcher son développement à l'état sauvage puisqu'il a été rapporté des faits de pollution génétique avec son cousin le cerf élaphe. Introduits en France au début du siècle dernier par le mikado japonais, certains individus se sont échappés des enclos dans lesquels ils se trouvaient et se sont reproduits à l'état sauvage. Plus d'une centaine d'individus sont prélevés chaque saison hors par cet enclos et ce principalement dans quelques départements au nord de l' pelage qui va du brun à plus sombre durant les saisons, et assorti de tâches blanches, le cerf sika se différencie du cerf élaphe. Egalement sa taille n'a rien en commun avec lui puisque le mâle mesure environ 80 cm au garrot pour un poids d'une cinquantaine de kilos, et porte des bois qui n'excèdent pas huit andouillers. Les mâles sont solitaires quand les femelles vivent en harde avec leur faon. Les biotopes privilégiés du cerf sika sont les grands milieux forestiers denses ainsi que les zones plus petit des cervidés mais pas le moins rusé, le chevreuil lat. Capreolus capreolus est un herbivore comme le reste de sa famille. Très sociable, on le trouve souvent à proximité d'autres de ses congénères. Le mâle qui est appelé brocard, vit en marge de sa famille sans jamais trop s'en éloigner, quant à la femelle, la chevrette, elle est tout le temps suivie de près pour son ou ses jeunes faons de l'année jusqu'à la gestation suivante. La chevrette met bas chaque année autour du mois de mai, un ou deux faons. Il faut dire que sa reproduction repose sur un mécanisme peu commun qui débute dès le rut au mois de juillet-août. Lorsque la chevrette entre en chaleur durant une courte période, elle est aussi fécondée par le brocard le plus chanceux mais connaît une diapause embryonnaire qui va durer presque 6 mois. Ce n'est qu'après cette pause que les ovules ou l'ovule fécondés commenceront leur développement pour une gestation de 5 mois. Ce phénomène concerne d'autres espèces comme le point de vue morphologique, le chevreuil est un animal frêle mais agile d'environ 1 mètre de long pour 75 cm au garrot. En partie à cause de ses pattes fines, son corps ne dépasse pas les 30 kilos. Son pelage va du brun roux en été et tire vers le gris en hiver. Si sa vue n'est pas bonne, il est doté d'une ouïe et d'un odorat très fins et d'un sens de la ruse très développé en action de chevreuil a pour habitude de marquer son territoire qui n'excède pas une cinquantaine d'hectares, en poussant un genre d'aboiement rauque, qui repousse les étrangers inattendus et prévient ses congénères de sa présence et du chasseurs friands de trophées de chasse, s'intéressent de plus en plus à la chasse du brocard à l'approche car ses bois, tous différents, sont convoités. De taille différente selon l'âge de l'animal et le taux hormonal de l'animal, la pousse des bois est parfois entravée par un dérèglement hormonal ou un accident qui provoque des têtes dites " bizardes ". Ces têtes sont les plus recherchées car aucune d'entre elles ne ressemble à une autre. Chaque année, le brocard perd ses bois à la tombée de l'hiver et s'engage dans les jours qui suivent la repousse. Tout le reste de l'hiver, le brocard aura des bois recouverts de velours en attendant les beaux jours. Ce velours se détachera grâce aux frottements répétés des bois comme les France, il est de plus en plus chassé en battue car soumis à plan de chasse dans des zones où il commet de nombreux dégâts aux cultures et jeunes arbres ; mais sa chasse de prédilection reste l'approche. Dès le 1er juin, il lance les débats. Grâce à sa bonne gestion, il est devenu un gibier très populaire qui compte des effectifs de plus d'un million. Au cours de la saison 2012-2013, il a été prélevé en France plus de 540 000 chevreuils avec une dominante pour les régions Est et Aquitaine. Sa présence et sa bonne santé ne s'arrête pas aux frontières de l'hexagone mais s'étend à toute l'Europe centrale où les chasseurs aussi se passionnent pour sa de la famille des cervidés, le daim est en réalité très peu chassé en France moins de 1 000 prélèvements par an hors parcs et enclos car ses populations sont peu nombreuses et sa capacité à coloniser des terrains nouveaux n'est pas grande et sa gestion délicate. C'est dans la région Alsace que se cantonne la grande majorité des prélèvements. Espèce sociable vivant en harde, on distingue le mâle appelé daim dont le poids oscille entre 50 kg et 100 kg et porte de courts bois plats bien échancrés et palmés. Quant à la femelle, la daine, elle est nettement moins grosse, environ une quarantaine de kilos et donne une seule portée d'un faon par an à la fin du animal, le daim se reconnaît à son pelage tacheté roux et blanc. Ce n'est qu'à l'hiver que celui-ci devient plus sombre. Comme pour le cerf ou le chevreuil, le daim est herbivore et se nourrit de jeunes pousses, fruits ou encore petit que le lièvre par sa corpulence et la taille de ses oreilles, il pèse à peine un peu plus d'un kilo. La distinction entre mâle et femelle est impossible à l'oeil nu sans palpation de ses organes génitaux, de même concernant l'âge puisqu'un lapin atteint sa taille adulte au bout d'une dizaine de point de vue alimentaire, le lapin est un herbivore qui trouve sa pitance en fonction de son lieu d'habitation même si sa préférence va aux graminées. Parmi les particularismes alimentaires du lapin, il utilise un mécanisme nommé caecotrophie qui consiste à ingérer un première fois ses déjections, lesquelles se sont enrichies lors du passage dans l'organisme de vitamines. Le lièvre fait exactement la même on le trouve un peu partout sur l'ensemble du territoire, le lapin de garenne ne vit que très peu en forêt ou à la montagne, il privilégie les sols meubles où il est à l'aise pour construire ses terriers où on le retrouve en compagnie de plusieurs adultes qui vivent avec lui. Egalement les zones de couvert lui sont adaptées car elles lui permettent d'être à l'abri des gestion du lapin de garenne s'impose puisque nous sommes en présence d'un formidable reproducteur chaque lapine fait de 3 à 5 portées par an pour environ une vingtaine de naissances au total. Cette forte reproduction explique aussi un taux de mortalité élevé chez les jeunes entre la prédation et les maladies. Malgré tout, une compagnie de lapins parvient à croître de manière exponentielle si le chasseur ne remplit pas son rôle. Sa chasse se fait à tir avec ou sans chien, mais aussi avec un furet lorsque l'on doit réguler une milieu du siècle dernier, cette espèce a connu une hécatombe sans précédant avec la myxomatose en 1952 qui a tué plus de 90 % des garennes existants. Introduite ponctuellement et volontairement pour tuer une compagnie, elle a contaminé accidentellement autour d'elle d'autres populations, menaçant la pérennité de l'espèce et déséquilibrant de fait toute la chaîne de le confondre avec le lapin ! Plus grand et longiligne, ses longues oreilles finiront de le trahir. Si on trouve encore qu'il ressemble à ce dernier, le lièvre n'a pas du tout la même façon de vivre. Commençons tout d'abord par sa vie le jour dans son gîte, il retrouve ses semblables la nuit dans les champs cultivés pour festoyer ensemble. Face au vent pour flairer les dangers, le lièvre passe le plus clair de sa journée dans son gîte. Dans un talus ou à l'ombre d'une haie, il se repose et patiente jusqu'à la nuit tombée pour s'alimenter et retrouver ses congénères. Chaque matin, son gîte change et son domaine vital s'adapte aux saisons et à la pitance qui se trouve à proximité. Pareillement au lapin, si on le trouve presque partout, sa présence est grande dans les régions où l'on cultive les sols sur terrain plat et à perte de l'on se plaît à observer le rut chez le cerf, les parades nuptiales pendant la reproduction du lièvre sont elles aussi un formidable spectacle. La femelle, la hase et le mâle, dit bouquin, se livrent campés sur leurs pattes arrière à un combat de boxe avec leurs pattes avant. Intervient alors furtivement, la reproduction qui met fin au combat. Chaque année, une hase met bas plusieurs fois de un à quatre levrauts qui sont autonomes dès la naissance. Chez le lièvre, la hase peut être fécondée quelques jours avant d'avoir mis bas de la précédente ; on appelle cela la chasse du lièvre est un réel savoir-faire et nécessite souvent une chasse exclusive. L'emploi de chiens courants est l'une des facettes de cette chasse. Les chiens débusquent l'animal tapi dans son gîte, et le lance pendant de longues minutes pour le faire passer à distance du chasseur. Généralement, elle requiert de très bons chiens car la légèreté de la voie et les ruses des lièvres mettent à mal l'odorat des compagnons certains départements, des quotas sont établis sous la forme de plan de chasse afin de limiter les plus connu de la famille des phasianidés, le faisan commun peuple l'ensemble des campagnes françaises alors pourtant que ses origines sont lointaines du côté de l'Asie. Magnifique gibier à plume, on distingue le mâle de la femelle. Le coq est sans conteste le plus beau avec sa tête bleutée et son oeil serti de rouge tandis que sa robe se pare de couleurs rouille aux reflets brillants. Quant à la poule faisane plus petite, son plumage est beaucoup plus discret, tirant vers le brun une espèce sédentaire au comportement alimentaire varié qui dépend des saisons. Les insectes, larves et autres vers composent le menu en période humide, alors que céréales, baies et bourgeons font le repas des beaux jours. Pour cela, le faisan affectionne les cultures et les haies attenantes, ainsi que le milieu forestier à petite échelle, la garrigue et les rapide au sol, un peu lourd au démarrage, c'est une proie facile pour les prédateurs sauvages tel que le renard. La nuit, pour se reposer en toute quiétude, il se perche dans les branches d'un arbre. La prédation n'est la seule cause de mortalité que le faisan commun rencontre. Les pontes sont parfois perturbées par les mauvaises conditions climatiques qui détruisent les nids ainsi que par l'activité agricole. Dans ce cas, il est très difficile de garantir des populations sauvages. Très souvent les sociétés de chasse font des lâchers en début de saison pour satisfaire les exigences de tir des chasseurs et de chasse des la chasse, il ne fait par partie des animaux les plus durs à chasser. Les jeunes chiens d'arrêt s'y entraînent souvent, car ils arrivent à bien les bloquer et peuvent prendre le temps de les voir s'envoler sous leurs yeux. Le coup de fusil n'est pour autant une formalité puisqu'une fois lancé, il atteint de grandes la plupart du temps, on le chasse devant soi au chien d'arrêt, le faisan fait également partie des gibiers à plume que l'on chasse en battue, principalement après de grands au faisan commun, le vénéré vit essentiellement en milieu forestier. Il a été importé de Chine au XIXe siècle et ses populations naturelles sont malheureusement peu présentes en France dans le Nord et dans l'Ouest. Sa faible capacité à se reproduire à l'état naturel fait qu'on assiste surtout à des lâchers, notamment lors de mâle possède une queue extrêmement longue jusqu'à 2 m, blanche, et une robe dorée magnifique bordée de noir. De son côté, la femelle est beaucoup plus terne, semblable à la poule du faisan distingue dans le petit gibier à plume de plaine, deux types de perdrix bien distinctes la perdrix grise et la perdrix rouge, qui font toutes deux partie de la famille des phasianidés. Quand la première se chasse majoritairement dans la partie nord de la France, l'autre est plus au chaud dans le sud. De morphologie semblable, elles ont des couleurs et des caractéristiques bien perdrix grise. Plus grosse que la caille, la perdrix grise est un oiseau trapu de couleur brune avec quelques fins traits blancs dans le sens des plumes. Sa queue et ses ailes sont courtes, ce qui lui permet un décollage express du sol. Si elles vivent en couple durant l'hiver et au printemps pendant la saison des amours, on les retrouve pendant la période de chasse, en compagnie pouvant aller jusqu'à une quinzaine d'oiseaux. Comme pour le faisan, on appelle coq le mâle, et poule la femelle, cependant il n'est pas aisé de faire la distinction à l'oeil nu car c'est la formes des rayures de ses plumes qui le révèlera. Dès le printemps, la nidification a lieu en bordure de champ pendant 24 jours et donne naissance à une quinzaine de poussins. Etant donné les risques liés à la prédation et aux mauvais temps, les pertes sont importantes, et on assiste souvent à une deuxième ponte dans les jours qui plaine céréalière ou dans un biotope vallonné, la perdrix grise s'établit là où on lui garantit le gîte et le couvert dans une relative sérénité. Son régime alimentaire est fait de petits insectes, de vers et bien sûr de céréales et autres chasse se fait la plupart du temps au chien d'arrêt et face au vent pour ne pas éveiller les soupçons de ces oiseaux qui ne tarderont pas à quitter les lieux à la moindre souvent, lorsque le chien marque l'arrêt, la perdrix en profite pour piéter, c'est-à-dire qu'elle va parcourir plusieurs mètres avant de prendre son envol, d'où l'impression de ne jamais l'avoir à portée de fusil. Pour cela, il est recommandé de vite coller aux perdrix rouge. Contrairement à sa voisine la grise, la perdrix rouge est un oiseau haut en couleurs d'un plumage clair blanc bleuté et tacheté de noir et de roux sur le torse, il est brun qui tire au roux sur le dos. Ses pattes et son bec finiront réellement de la différencier de la perdrix grise. Plus grosse également, la perdrix rouge adulte avoisine les 600 grammes. C'est un oiseau qui respire le soleil et les chasses sportives. Sa présence est trahie par ses chants matinaux et au soleil couchant où les compagnies se rappellent et se rassemblent près des haies dans lesquelles elle trouve un abri de première ponte de 10 à 15 oeufs a lieu dès le printemps. Fragilisée par tous les facteurs externes et aléatoires d'une saison à une autre, une seconde ponte de remplacement est fréquente mais moins productive. Les populations de perdrix rouges connaissent des hauts et des bas, et pour cette raison sa chasse n'est autorisée que sur une courte période. Les efforts pour sa gestion sont appréciables quand on sait que le repeuplement comporte des risques d'échecs chasse peut être très sportive selon le relief. Avec un chien d'arrêt, il faut être bon marcheur et suffisamment vigilant pour l'intercepter au vol, sinon il ne faudra pas compter les kilomètres que l'on passe à courir derrière. Elle reste malgré tout passionnante à chasser à la fin de l'été et au début de l'automne, au milieu de la garrigue ou aux abords de rangées de chamois. Petit herbivore agile, le chamois des Alpes est issu de la famille des bovidés. Ressemblant fortement à une chèvre trapue, le chamois porte sur sa tête de fines cornes d'une vingtaine de centimètres qui se terminent par un crochet recourbé vers l'arrière de la tête. Sa nourriture est composée de graminées, de feuillus et de plantes qui composent son domaine vital, aussi bien en été qu'en hiver quand le relief a mis son manteau neigeux. Sociable, le chamois vit en harde de plusieurs individus où seuls les mâles se tiennent à l'écart hors de la période du rut du mois de novembre. Chaque année, la femelle met bas après 160 jours de gestation à un chevreau. Plus que l'homme, les conditions climatiques hivernales ou la prédation des loups peuvent fragiliser les effectifs de chamois dont le taux de reproduction n'assure qu'en partie la préservation. Espèce sensible, le chamois est soumis à plan de chasse ou entre dans une zone de réserve tels que les parcs France, on note la présence du chamois dont les zones d'altitude de l'Est du pays, que ce soit dans les Alpes, le Jura et même un peu dans les Vosges. Le massif Central est lui aussi concerné mais dans de faibles Plus petit que son cousin alpin, l'isard ne se rencontre que dans le massif pyrénéen. Il mesure de 70 cm à 80 cm au garrot pour un poids allant de 20 kilos à 40 kilos pour les boucs les plus âgés. D'été en hiver, le pelage change de teinte passant d'une dominante ocre à un manteau plus brun. Seule la tête garde sa couleur blanc cassé et sa double bande brunâtre. Au niveau du comportement, il se rapproche grandement du chamois les forêts ouvertes et les pâturages entrecoupés de reliefs accidentés sont ses terrains de jeu et d'habitat. Les effectifs sont stables depuis plusieurs saisons. Soumis au plan de chasse, l'isard se cantonne plus ou moins sur trois départements que sont l'Ariège, les Hautes-Pyrénées et les Pyrénées-Orientales. Les prélèvements effectués chaque année restent tout de même assez faibles, entre 2 000 et 3 mouflon. Ovin sauvage d'une cinquantaine de kilos, le mouflon est identifiable à son pelage chocolat et à ses deux grandes cornes. Le mouflon de Corse a été réintroduit dans tout l'arc méditerranéen à partir du milieu du XXe siècle, et s'est parfaitement acclimaté depuis aux massifs de moyenne montagne et de faible enneigement et humidité. Avec ses deux cornes imposantes qui s'enroulent le mouflon est devenu un trophée de choix pour le chasseur amateur d'approche en montagne. De plus, ses cornes permettent à l'examen de ses anneaux d'estimer l'âge du mouflon de manière assez à plan de chasse, les chasseurs utilisent l'approche dans son habitat naturel montagneux. Comme toute chasse en montagne, elle demande d'être aguerri physiquement et de bien maîtriser son arme. Due à sa présence dans certains massifs de moyennes montagne, la chasse du mouflon connaît de plus en plus de grand tétras. Une allure élégante, un plumage noir bleuté avec des ailes tirant vers le marron, une virgule au-dessus de l'oeil rouge, et une queue en éventail noir tacheté de blanc, le coq de bruyère mâle du grand tétras impressionne lorsqu'il parade au petit matin dans une clairière. Pouvant peser jusqu'à 6 kilos, il se nourrit de tous types de végétaux et de fruits forestiers. Ses origines scandinaves ne l'empêchent pas d'être présent en petite proportion tout de même dans les Vosges, le Jura et les petit tétras. Aussi nommé " tétras-lyre ", le petit tétras affectionne les lisières des forêts de montagne, notamment les petites coupes. Ses doigts de pied en forme de peigne à plumes lui servent à évoluer sur un manteau neigeux. Bien moins grand et gros que le grand tétras, le mâle est noir avec un dessous de queue blanc et un épais sourcil rouge. En France, on le retrouve exclusivement dans les Alpes, chassable, et les Ardennes où sa chasse est interdite. Il faut dire que ce petit animal a du mal à développer ses populations et est sujet à la prédation perdrix bartavelle. La bartavelle, c'est le graal de la perdrix. Beaucoup plus grosse que la grise ou la rouge, elle pèse environ 600 à 700 grammes pour les mâles et 500 à 600 grammes pour les femelles bien que leurs couleurs soient identiques. Une poitrine et un dos gris-bleu, un bec rouge et un plumage des ailes tricolore roux-noir-blanc. De plus, un large collier noir habille sa tête blanche du cou jusqu'aux yeux. On la trouve exclusivement dans les départements alpins, sur les reliefs caillouteux et les landes à moyenne altitude, où sa chasse n'est pas partout autorisée La gélinotte des bois. Oiseau massif et trapu de la famille de la poule, la gélinotte des bois ne se rencontre qu'en montagne. Les petits massifs forestiers de montagne plaisent à la gélinotte qui établit sa cachette dans les couverts comme les taillis. Sédentaire, elle vit avec discrétion et se nourrit de petites pousses sur les feuillus et adapte sa consommation au gré des saisons. Si on a la chance de l'observer, son plumage multicolore brun, roux, noir et blanc vous sautera aux yeux. Du fait de ses faibles populations et soumise au plan de chasse, la gélinotte n'est chassée en France que dans le massif alpin et le Jura. Le lagopède alpin. Cette perdrix des neiges a la particularité de changer trois fois de plumage au cours de l'année ; gris brun au printemps et assez panaché, mi-blanc mi-brun à l'automne, et tout blanc l'hiver. Ainsi à chaque période de l'année, son plumage est en accord avec la couleur du milieu dans lequel il vit. Comme une perdrix, le lagopède piète dans la basse végétation de montagne et les éboulis, mais ne dédaigne pas évoluer sous un couvert de pins. Si son tir n'est pas dur, sa chasse dans ce milieu-là est éprouvante. Le lièvre variable. Avec un corps plus ramassé que celui des campagnes, le lièvre variable pourrait ressembler au lapin de garenne avec ses oreilles courtes. Animal nocturne, il est cependant très dur de le repérer et change de couleur deux fois par an, en passant de gris l'été à blanc l'hiver où seul le bout des oreilles reste noir. C'est ainsi qu'il est dit variable. Mousses, lichens et graminées constituent sa nourriture de base, et les périodes de neige le contraignent à parcourir de grands déplacements pour continuer à s' la famille des turdidés, grives et merles se rencontrent très fréquemment dès l'automne dans toutes les haies de campagne, à la recherche de baies, de fruits forestiers ou de céréales. Bien que petites, toutes ces espèces présentent un grand intérêt pour la chasse, car il s'agit du gibier le plus grive draine. La plus grosse des quatre espèces de grives, elle ne pèse pourtant qu'à peine plus de 100 grammes. La draine, oiseau solitaire, niche assez haut dans les arbres et se nourrit aussi bien d'insectes, que de végétaux ou de fruits. Sa poitrine d'un blanc légèrement jaunâtre est tachée de noir. Il est dit que cette espèce joue un rôle dans la propagation du gui, ces boules parasitaires. La grive musicienne. La plus chanteuse comme son nom le sous-entend, la grive musicienne lance des " tchic-tchic " d'un arbre à l'autre où se trouve un congénère. Dans les buissons et les fourrés, elle établit son nid et se gave de mûres ou d'aubépines et bien sûr de grains de raisin quand l'automne pointe le bout du nez. Son plumage sur le dos va de châtain foncé à brun alors que sa poitrine blanche tire vers le jaune. Deux à trois couvées de cinq oeufs par an, lui permettent d'avoir des effectifs à la hausse ces dernières années. La grive litorne. La litorne est celle qui se rapproche morphologiquement le plus du merle. Ses ailes, son dos et sa queue sont gris, alors que la poitrine est orangée pourvue de quelques traits noirs. Côté chant, elle a aussi son mot à dire, et ses " tchac-tchac " interpellent lorsqu'elle est en vol. Sa migration est la plus tardive à l'orée de l'hiver et des premières vagues de froid, où elle se réfugie dans les bordures des grandes zones ouvertes. Présente un peu partout en France. La grive mauvis. La mauvis est quand à elle la plus petite des grives une vingtaine de centimètres pour 60 grammes environ. D'un plumage grisâtre et d'une poitrine blanche à trait noir, elle est assez discrète mais se caractérise réellement par son long sourcil jaune et le dessous de ses ailes orangé. Elle transite dans le pays au beau milieu de l'automne mais n'y niche pas, ce qui ne l'empêche pas de profiter du gîte et du couvert quelques semaines où baies, fruits forestiers, vers et larves la ravissent. Le merle. Le merle noir est un oiseau d'automne que l'on chasse à peu près partout dans les haies et buissons, en même temps que la grive. Il existe un dimorphisme sexuel bien marqué qui implique la couleur du plumage le mâle tout noir au bec jaune et la femelle, brune plus terne. Bien qu'il semble peu sensible aux dérangements humains, le merle colonise aujourd'hui assez bien les parcs urbains que les haies reculées de la campagne. La migration de nuit s'effectue à l' bécasse des bois, c'est l'oiseau mystérieux par excellence, celui qui fascine. De nombreux chasseurs y vouent plus qu'un culte, une philosophie. Ce limicole terrestre, tout en rondeur, est pourvu de pattes courtes et d'un long bec de près de 5 cm dont il se sert pour se nourrir de vers de terre et d'insectes en tout genre. D'un poids aux alentours de 300 g et d'une taille de 35 cm, il n'y a pas de dimorphisme sexuel entre mâle et femelle, où chacun porte un plumage multicolore mêlant blanc, noir et roux. Cet habillage lui permet un mimétisme presque parfait avec le sol sur lequel elle se tapie. A l'oeil nu, il est très difficile de la migrateur, la bécasse des bois arrive des pays baltes et notamment de Russie dès la fin du mois d'automne en compagnie des premières gelées, et se retrouve un peu partout à travers l'hexagone. Annuellement les mêmes remises sont visitées, soit par le même oiseau, soit par un oiseau différent si celui-ci a été prélevé au cours de la saison passée. Plus de 50 % des bécasses baguées une année sont retrouvés sur le même site l'année vit en sous-bois et fréquente les milieux boisés et affectionne les sols de mousses et de lichens entre conifères et buis. Si son activité le jour reste très limitée, la nuit elle parcourt les prairies à la recherche de nourriture. Des conditions de froid extrême peuvent l'empêcher de s'alimenter, ce qui peut poser un grave problème. Des bécasses souvent amaigries peuvent alors périr. Au mois de mars, les bécasses font le chemin inverse et c'est le moment qu'elles choisissent pour se reproduire. Pendant leur voyage, les mâles croulent matin et soir à la recherche d'une partenaire. La croule est un chant en vol particulier qui a lieu pendant trois à quatre mois. La femelle pond chaque année quatre oeufs qu'elle va couver durant un peu plus de trois semaines. Dans les paramètres démographiques de l'espèce, il faut constater que le taux de survie des jeunes est d'environ un pression de la chasse à la bécasse des bois doit plus que tout être raisonnée quand on sait que l'on est en présence d'un oiseau sensible. Ainsi, un PMA prélèvement maximal autorisé qui se traduit par un système de quotas et de marquage a été instauré afin de prévenir tout déclin de l' colombidés apprécient le climat de notre pays, ou du moins le fréquentent à un moment donné de l'année. D'un corps assez compact et d'un vol vif, c'est un gibier à plume qui plait beaucoup aux chasseurs avec une préférence particulière pour le pigeon ramier, le plus gros d'entre pigeon ramier. Avec un poids moyen de 500 grammes, c'est le plus gros pigeon européen. Son dos et ses ailes sont gris-bleu et sa poitrine tire vers le gris-rose, alors que son bec est d'un rouge orangé vif. Son fort claquement d'ailes à travers les arbres, et son vol haut, sont ses principales caractéristiques et ses atouts pour tromper le chasseur. Nommée palombe dans le sud de la France, elle migre par chez nous aux premières vagues de froid. Les milieux faiblement boisés dans les plaines sont des habitats de choix. Le pigeon colombin. D'un bleu presque uniforme, le pigeon colombin est le plus petit des trois espèces de pigeon que l'on trouve dans l'hexagone. Les seules touches de couleur qui tranchent avec ce bleu, sont le rosé de la gorge, le turquoise de son cou et le jaune orangé de son bec. Dans la nature, on le retrouve à proximité de champs cultivés et dans les petites forêts. A la fois sédentaire ou migrateur, le pigeon colombin a pris pour habitude de nicher dans le creux des arbres, on dit qu'il est pigeon biset. Le pigeon biset est celui que connaissent les citadins. De taille moyenne, il est bleuté sur la tête et le cou ; cou qui se termine par des reflets verts et rosés, alors que sa poitrine, son dos et ses ailes rayées de noir, sont de couleur gris clair. Très mobile en période de chasse, le pigeon biset ne fait pas l'objet d'une chasse spécifique mais dans la nature se mêle facilement aux autres espèces de pigeons et de tourterelles. Sédentaire, on remarque sa présence en Corse dans les sites rocheux. Les tourterelles. Commune sur le territoire, la tourterelle turque est la plus grande des deux espèces que l'on connaît sur notre territoire. Très citadine, on la retrouve également dans les campagnes, perchée sur les poteaux électriques au milieu des champs. Son plumage est gris clair et sa nuque marquée d'un fin collier noir. Impossible de la confondre avec la tourterelle des bois. Celle-ci est plus petite et plus sombre, son dos est gris qui tire vers le foncé et les plumes de ses ailes sont bicolores noir et marron. Cette espèce est migratrice et traverse la France vers la fin de l'été, au début de la saison de caille des blés. Les terres cultivées et notamment les céréales sont les terrains de jeu de prédilection de la caille des blés. Petite ronde de 100 grammes environ qui a la fin de l'été retourne vers l'Afrique profiter encore du soleil. Si elle ressemble à la caille d'élevage, elle s'en différencie quelque peu au niveau du chant et au niveau des plumes de la gorge. C'est aussi grâce au plumage que l'on distingue le mâle qui arbore des couleurs orangées quand la femelle présente sur sa poitrine une toison beige tachetée de noir. L'alouette des champs. Oiseau chétif, poids plume de quelques dizaines de grammes, l'alouette se repère facilement à son vol fait de battements d'ailes brefs au-dessus d'un champ cultivé, et à son chant ininterrompu en l'air. Son plumage est rayé blanc brun et sa queue à une certaine longueur. L'alouette fait l'objet de plusieurs chasses spécifiques comme la chasse au miroir ou la chasse avec les social que l'on retrouve partout en France, le renard est reconnaissable de tous avec son allure élancée, ses oreilles pointues, son pelage roux et sa longue queue touffue. Ce carnivore rusé est en réalité un gastronome opportuniste. Si le gibier à plumes constitue son met de prédilection, il ne dédaigne pas croquer dans une petit mulot, quelques insectes ou bien même se rabattre sur des fruits quand la saison le permet. Sa faculté à coloniser à peu près n'importe quel milieu, puisqu'on le retrouve aussi bien dans les champs cultivés, les petites forêts, ou aux abords des villes, lui permet d'adapter ses exigences de consommation à ce qu'il trouve à l'instant longue espérance de vie du renard, ses rares prédateurs et une reproduction de quatre à cinq renardeaux chaque année, font de cette espèce un danger pour l'établissement durable des populations de petit gibier en plaine. Pour cette raison, le piégeage est très souvent envisagé quand on estime les dégâts qu'il cause trop importants. De gibier chassable, il devient gibier discret et nocturne, il est bien rare de tomber nez à nez avec un blaireau. Issu de la famille des mustélidés, doté de pattes courtes et d'un corps massif d'une quinzaine de kilos, le blaireau ne ressemble à aucun autre avec sa tête blanche marquée de deux larges bandes dans des terriers sous terre qu'il confectionne ou réaménage, il passe de nombreux jours à s'y reposer et à même à y hiberner. La nuit venue, il parcourt les champs cultivés ou les plaines à la recherche de nourriture végétale, et occasionne régulièrement des dégâts. Son régime alimentaire est pour le moins très varié petits mammifères, fruits, céréales, insectes... Chaque année, la femelle donne naissance de deux à quatre petits et assure ainsi le renouvellement d'une espèce qui ne connaît que l'homme comme prédateur. Sa présence peut alors devenir gênante, c'est pour cette raison qu'il est chassé en tant que freux et corneille noire sont les deux espèces les plus représentatives des corvidés. Oiseaux imposants et tout de noir, on distingue l'un de l'autre grâce à son solide bec celui de la corneille est noir, alors que celui du corbeau freux est gris. Omnivores et charognards, ces deux espèces vivent en grandes bandes à travers le par deux, rarement seules, les pies bavardes sont très présentes dans toutes les campagnes et les villes de l'hexagone. Bruyante et audacieuse, la pie construit son nid de branchettes tout en haut des arbres. De là, elle pille et convoite les oeufs et oisillons de ses voisins. Omnivore par excellence, elle alterne oisillons avec des fruits ou des insectes. Chaque année au printemps, la pie bavarde pond de deux à huit geai des chênes est celui qui pousse des cris irritants dès que le chasseur pénètre un bosquet. En véritable gardien de la forêt, il prévient ses habitants d'un dérangement anormal. Le plumage majoritairement roux et l'extrémité des ailes tirant vers le bleutée, le geai est omniprésent en France, au même titre que la pie tête gris clair, un corps qui tend vers le jaunâtre et une queue touffue, le putois est un petit gabarit solitaire que l'on rencontre dans les bocages où chaque nuit il part à la recherche de petits martre vit essentiellement en milieu forestier à la recherche d'oisillons et de rongeurs. Son pelage brun est assez épais, et le dessous du cou marqué par une large tache jaune. A ne pas confondre avec la fouine dont le pelage tire plus vers le gris et la tache du cou semblable mais plus blanche que jaune. Courte sur pattes et allongée, la fouine est un prédateur pour sa fourrure, le vison d'Amérique est présent au bord des milieux aquatiques. Son corps allongé est brun et luisant, et on peut le reconnaître grâce à la tache blanche qu'il porte sous le belette ne fait qu'une centaine de grammes et elle chasse avec beaucoup d'habilité mulots et campagnols. Elle colonise abondamment les massifs plus grosse que la belette, on retrouve l'hermine. Variant du brun au blanc selon les saisons, le pelage de l'hermine est longiligne et sa queue est assez longue. Grâce à son gabarit plus conséquent elle peut s'attaquer à de petits lapins.
chasser les oiseaux et rapporter les trophees