Bonjour Je rencontre un souci de volet de vélux depuis hier soir. Tout fonctionnait sans problème jusqu'à hier et désormais, quand j'appuie sur ma télécommande pour descendre le volet, ce volet descend d'une dizaine de centimètres ,s 'arrête un bref instant puis remonte de quelques centimètres. Je n'avais jamais rencontré le moindre
Quest-ce qui monte mais ne descend pas ? Qu'est-ce qui monte mais ne descend pas ? L'âge augmente toujours et ne diminue jamais. Le vieillissement est irréversible. Cette question se veut une énigme et ne nécessite pas l'application des principes de la physique. Une personne ne peut que vieillir et jamais rajeunir.
Jene comprends pas ce qui m'arrive . Je suis fatiguée , épuisée physiquement et nerveusement . Et si on commence à me parler de ce que c'est fans la tête , je crois que je vais péter un boulon. Du reste je ne comprends pas . Les moments où elle monte ne correspondent pas forcément à des moments où je suis stressée .
Quest ce qui monte mais ne descend jamais? Jump to. Sections of this page. Accessibility Help. Press alt + / to open this menu. Facebook. Email or phone: Password: Forgot account? Sign Up. See more of Vidéos drôle on Facebook. Log In. or. Create new account. See more of Vidéos drôle on Facebook. Log In. Forgot account? or. Create new account . Not now. Related Pages.
Quest-ce qui monte mais ne descend jamais ? La réponse est votre âge! Votre âge augmentera avec les années, mais malheureusement, il ne baissera jamais. Alors, voilà ! C’est un peu un classique, mais cela vaut quand même la peine de demander à votre famille et à vos amis s’ils peuvent l’obtenir maintenant que vous connaissez la réponse.
Quest-ce qui monte et qui descend, Sans repère espace-temps ? Que suis-je ? Un toboggan: 21: Enigme: Réponse: Pendant que je marchais dans la rue, J'aperçus une chose toute seule, Elle avait quatre doigts et un pouce, Et elle n'était point un poisson, un oiseau, un os ou même de la chair. Que suis-je ? Un gant: 22: Enigme: Réponse: Qu'est ce qui persiste, mais qui n'est
jbeZ. La raison les actions et les obligations n’évoluent généralement pas dans la même direction – lorsque les actions montent, les obligations baissent généralement et lorsque les actions baissent, les obligations montent généralement – et investir dans les deux protège généralement votre portefeuille. Que se passe-t-il lorsque les obligations baissent ? Les obligations affectent le marché boursier en concurrençant les actions pour les dollars des investisseurs. Les obligations sont plus sûres que les actions, mais elles offrent un rendement inférieur. Par conséquent, lorsque les actions prennent de la valeur, les obligations baissent. … Lorsque l’économie ralentit, les consommateurs achètent moins, les bénéfices des entreprises chutent et les cours des actions baissent. Qu’est-ce qui fait monter ou descendre les obligations ? Premièrement, les prix des obligations et les taux d’intérêt évoluent dans des directions opposées. Si les taux d’intérêt baissent, le prix d’une obligation augmente et si les taux d’intérêt augmentent, le prix d’une obligation baisse. … Vous pouvez vendre une obligation plus cher que ce que vous avez payé et réaliser un profit. Est-il bon d’acheter des obligations lorsque les taux d’intérêt sont bas ? S’il est vrai que les rendements sont bas aujourd’hui, les bons du Trésor américain peuvent toujours servir de tampon si le marché boursier devait baisser. Les bons du Trésor à plus long terme ont historiquement fourni certains des meilleurs avantages de diversification en raison de leurs durées plus élevées – ils sont plus sensibles aux variations des taux d’intérêt. Qu’est-ce qui tombe lorsque les prix des obligations augmentent? Lorsque les prix des obligations augmentent, les rendements baissent et vice versa. Par conséquent, lorsque la peur monte et que l’argent afflue dans les obligations, les prix augmentent et les rendements diminuent. Par conséquent, lorsque les taux d’intérêt augmentent, les prix des obligations chutent et les investisseurs obligataires, en particulier ceux qui restent dans les fonds obligataires, ressentiront une certaine douleur. Les obligations perdent-elles de l’argent en période de récession ? Les obligations ne prendront pas autant de valeur pendant une récession, mais par rapport aux pertes potentielles sur les actions, elles peuvent ressembler à un excellent investissement pendant une récession. … Cependant, si la musique s’arrête et que les États-Unis entrent en récession, alors les obligations peuvent être utiles à un portefeuille. Les obligations montent-elles en période de récession ? La deuxième raison pour laquelle les obligations fonctionnent souvent bien pendant une récession est que les taux d’intérêt et l’inflation ont tendance à tomber à des niveaux bas lorsque l’économie se contracte, ce qui réduit le risque que l’inflation ronge le pouvoir d’achat de vos paiements d’intérêts fixes. De plus, lorsque les taux d’intérêt baissent, les prix des obligations ont tendance à augmenter. Les obligations sont-elles sûres si le marché s’effondre ? Bien sûr, les obligations sont toujours techniquement plus sûres que les actions. Ils ont un écart type plus faible qui mesure le risque, vous pouvez donc également vous attendre à moins de volatilité. … Cela signifie également que la valeur à long terme des obligations est susceptible d’être à la baisse et non à la hausse. Les obligations sont-elles plus sûres que les actions en ce moment ? Les obligations ont tendance à être moins volatiles et moins risquées que les actions, et lorsqu’elles sont détenues jusqu’à l’échéance, elles peuvent offrir des rendements plus stables et constants. Les taux d’intérêt sur les obligations ont souvent tendance à être plus élevés que les taux d’épargne des banques, des CD ou des comptes du marché monétaire. Que nous disent les rendements obligataires ? Le rendement dit presque tout Les prix des obligations et les rendements obligataires sont d’excellents indicateurs de l’économie dans son ensemble, et de l’inflation en particulier. Le rendement d’une obligation est le taux d’actualisation qui peut être utilisé pour rendre la valeur actuelle de tous les flux de trésorerie de l’obligation égale à son prix. … Son prix sera inférieur. Est-ce le bon moment pour acheter des obligations maintenant ? Et de plus, même si vous pouviez prévoir les taux d’intérêt ce que vous ne pouvez pas et même si vous saviez qu’ils allaient augmenter ce que vous ne savez pas, c’est toujours le bon moment pour acheter des obligations. Vaut-il la peine d’acheter des obligations maintenant? Les obligations offrent une stabilité à ceux qui ont besoin d’utiliser leur portefeuille pour des frais de subsistance ou des achats importants. … Mais les obligations contribuent également à vous protéger contre la déflation. Lorsqu’il y a de l’inflation, vos revenus obligataires valent moins au fil du temps, mais dans un environnement déflationniste, ils valent en réalité plus. Est-il préférable d’acheter des obligations lorsque les taux d’intérêt sont élevés ? Si votre objectif est d’augmenter le rendement total et que vous disposez d’une certaine flexibilité quant au montant que vous investissez ou au moment où vous pouvez investir, il est préférable d’acheter des obligations lorsque les taux d’intérêt sont élevés et atteignent des sommets ». Mais pour les investisseurs de fonds obligataires à long terme, la hausse des taux d’intérêt peut en fait être un vent arrière », déclare Barrickman. Pourquoi les prix des obligations montent-ils lorsque les rendements baissent ? Prix. À mesure que les prix des obligations augmentent, les rendements obligataires baissent. Par exemple, supposons qu’un investisseur achète une obligation qui vient à échéance dans cinq ans avec un taux de coupon annuel de 10 % et une valeur nominale de 1 000 $. … Si les taux d’intérêt venaient à baisser, le prix de l’obligation augmenterait car le paiement de son coupon est plus attractif. En achetant une obligation, vous accordez un prêt à l’émetteur, et il s’engage à vous rembourser la valeur nominale du prêt à une date précise et à vous payer des intérêts périodiques. . Contrairement aux actions, les obligations émises par les entreprises ne vous confèrent aucun droit de propriété. Quel est le taux d’intérêt actuel sur les obligations? Le taux d’intérêt des obligations d’État américaines à 10 ans est de 0,93 %, contre 0,87 % le mois dernier et 1,86 % l’an dernier. Ce chiffre est inférieur à la moyenne à long terme de 6,04 %.
Que tu ailles faire du bloc en salle pour la première fois ou que tu commences tranquillement les voies, tu dois connaître les règles de sécurité de base pour grimper l’esprit tranquille, éviter de te blesser ou de blesser les autres. Pour t’aider, voici une liste des essentiels à savoir avant de te lancer à l’assaut des prises. En préambule mini lexique pratique de l’escalade Si tu vas mettre les pieds pour la première fois dans une salle d’escalade, peut-être que tu ne comprendras pas certains mots employés dans cet article. On les a regroupés ici pour que tu ne te sentes pas perdu ! Grimper en moulinette grimper une voie en ayant passé la corde dans un point d’ancrage au sommet ce qui permet d’être constamment assuré depuis le sol. Parfois, on dit aussi grimper en moule » Grimper en tête grimper une voie en installant la corde au fur et à mesure de la montée. Pour cela, on la passe régulièrement dans des dégaines. Une dégaine deux mousquetons reliés entre eux par une sangle. Le premier se place sur le mur, le second permet de passer la corde lorsqu’on grimpe en-tête. Un devers c’est une paroi au-delà de la verticale, avec une inclinaison négative et c’est souvent plus impressionnant Parer se placer derrière un grimpeur qui n’est pas encordé, soit en bloc, soit avant la première dégaine en-tête, pour prévenir et amortir sa chute. 1 Observe la salle et les autres grimpeur C’est une règle simple, basique mais qu’on a parfois tendance à oublier. Savoir où sont les autres grimpeurs permet de ne pas s’en prendre un sur la tête et d’éviter ainsi non pas un mais deux blessés ! En bloc particulièrement il faut être vigilant car la chute signifie retour au sol On ne grimpe donc jamais sous une autre personne et on ne stationne pas non plus sous les pans de mur pour papoter avec son pote. Parer son partenaire pour éviter qu’il tombe sur autre chose que ses deux jambes est donc la seule raison valable de se placer sous un autre grimpeur. D’ailleurs, si vous voyez une personne bras en l’air sur les tapis, c’est certainement qu’un grimpeur n’est pas loin au-dessus de sa tête ! Même consigne pour les personnes qui grimpent en voie on ne se place pas en dessous d’elles et surtout, on ne passe jamais entre un assureur et le mur. En cas de chute du grimpeur, l’assureur peut être projeté contre le mur et te faucher au passage. Autant faire deux mètres de plus pour le contourner et éviter de te retrouver pris en sandwich. 2 Vérifie ton matériel Certes, il y a moins de matériel à vérifier en salle qu’en falaise puisque les voies et les blocs sont généralement équipés. Mais une petite vérification de son baudrier, de l’état de ses chaussons ou de son système d’assurage perso n’a jamais tué personne, donc faites-le ! Idem pour la corde que certains n’hésitent pas à malmener et qui est susceptible d’être torsadée, voire de faire des nœuds. 3 Echauffe-toi Tu en vois beaucoup toi, des grimpeurs qui s’échauffent ? Je t’avoue que nous non plus. Et on se facepalm régulièrement devant ces personnes qui partent presque à leur niveau max dès la première montée On rappelle que l’échauffement permet non seulement d’éviter les blessures mais aussi d’être plus performant et de ne pas se sécher à la première montée. Même si tu n’as pas un niveau de dingue, on te conseille de ne pas faire l’impasse dessus. D’autant plus que le mur peut rendre l’échauffement vraiment ludique 4 N’oublie pas de parer et de te faire parer Là encore, c’est une pratique qu’on ne voit pas toujours et c’est pourtant une des bases de l’escalade. La parade sert à accompagner la chute d’un grimpeur en bloc ou qui n’est pas encore encordé s’il monte une voie en tête. En salle, les blocs sont généralement équipés de tapis épais, mais cela ne dispense pas de se faire parer lors d’un passage difficile ou lorsque la chute semble risquée En revanche, la parade doit être systématique en voie et en tête lorsque la première dégaine n’est pas encore passée. Les tapis sont généralement plus fins en bas des voies et les retours au sol sans parade peuvent vraiment faire mal. 5 Maîtrise et vérifie ton nœud et ton assurage Quand tu grimpes en voie, tu dois être sûr de ta technique dont les bases sont le nœud en huit et l’assurage. Si cela fait longtemps que tu n’as pas grimpé ou que tu as le moindre doute, reprend un cours d'escalade ou demande à des personnes plus expérimentés de te rafraîchir la mémoire. Pour plus de sécurité, demande toujours à ton ou ta partenaire de vérifier ton encordement ou ton système d’assurage L’assureur vérifie que le nœud en huit est correctement réalisé et serré avec un nœud de blocage si nécessaire. Le grimpeur vérifie que la corde passe correctement dans le système d’assurage, que le mousqueton est bien fermé et qu’il y a un nœud en bout de corde pour la stopper si celle-ci est trop courte en fin de voie. Si tout est ok, tu peux te lancer ! 6 En-tête ou sur un devers mousquetonne correctement tes dégaine L’escalade en tête demande d’être particulièrement vigileant sur le passage des dégaines qui doivent toutes être mousquetonnées et mises dans le bon sens la corde doit arriver sous la dégaine et repartir par-dessus. Si tu oublies » ou si tu places mal ta corde dans une dégaine, tu chuteras de plus haut et tu risques le retour au sol ! C’est donc un passage particulièrement délicat auquel l’assureur doit également faire attention pour prévenir son grimpeur en cas d’erreur. En moulinette, on ne fait généralement pas attention aux dégaines mais il y a un cas particulier les devers. Si tu pars en moulinette dans un devers, il faut que les dégaines soient mises côté grimpeur. Cela permet de réduire le balancier en cas de chute et ainsi d’éviter le retour au sol en cas de chute dans les premiers mètres de la voie. En grimpant, tu vas donc enlever les dégaines au fur et à mesure et bien les replacer pour la personne suivante en redescendant. 7 Communique avec ton ou ta partenaire de grimpe En voie, l’escalade se pratique à deux pendant que l’un saute joyeusement de prise en prise, le deuxième l’assure. Et pour être tout à fait clair, ce dernier tient un peu la vie du grimpeur entre ses mains mieux vaut ne pas tomber s’il décide de lâcher la corde. On te conseille donc de bien choisir ton assureur et d’être certain qu’il n’a pas des tendances psychopathes ! Trêve de plaisanterie, la communication entre les deux partenaires est hyper importante. L’assureur ne doit jamais lâcher des yeux son grimpeur et être prêt à anticiper ses mouvements mais le grimpeur doit également lui donner des informations. En cas de fatigue intense par exemple, tu as déjà dû entendre ce fameux prends-moi sec » ou bloque » qui signifie à l’assureur qu’il doit avaler la corde pour que le grimpeur puisse se reposer tranquillement dans son baudrier. De la même façon, l’assureur doit avertir son grimpeur en cas d’imprévu. 8 Ne descend pas à toute vitesse Si tu es arrivé en haut, profite et ne sois pas trop pressé de descendre. D’ailleurs, n’hésite pas à dire à ton assureur de ralentir le rythme si tu le sens trop rapide. L’idée n’est pas d’arriver en bas le plus vite possible mais bien d’arriver en bas entier ! Si tu assures tu dois maîtriser la vitesse de la corde et ne jamais la lâcher car si elle commence à aller trop vite, elle va te brûler les mains. C’est aussi pour cette raison qu’on ne s’amuse pas à descendre son partenaire par à coup en lâchant et rattrapant la corde. 9 Evite de sauter une fois le bloc terminé Contrairement à ce que tu penses peut-être, en bloc aussi il faut gérer sa descente. Tu verras souvent des gens sauter en se fiant aux épais tapis pour les rattraper. Pourtant, ce n’est pas une bonne idée. Certes tu ne te feras pas mal les deux ou trois premières fois, mais à la longue, cela peut entraîner des douleurs au niveau du dos ou des genoux. Préfère donc désescalader soit jusqu’en bas et si tu dois chuter, apprend à te réceptionner correctement sur tes pieds en amortissant avec tes jambes. Maintenant que tu es à l'aise en salle, tu hésites à envie de te lancer sur une falaise ? Si ces deux pratiques relèvent du même sport, elles ont quand même quelques différences qu'il faut connaître avant de se lancer fièrement à l'assaut des montagnes.
Dimanche 15 août dans les nuages de Freychenet, au creux d’un pli de massif pyrénéen, une tente est montée, puis deux, puis trois. Dans l’une d’entre elles un trou est creusé dans un sol argileux et caillouteux. Mais quelle est donc cette assemblée secrète qui s’anime et se rassemble autour d’une grande table fumante de mets et de vins ? D’où vient-elle, que fait-elle, où ira-t-elle ? Les gorges mystérieuses de Péreille » Lundi 16 août, Freychenet → Gorges de Péreille. Dénivelé négatif pas mal. Dénivelé positif pas mal aussi. Le secret n’aura duré que le temps des présentations et de quelques hésitations. C’est Handi Cap Evasion qui étrenne un nouveau séjour sous la houlette de Stéphane Brangoleau, venu accompagné d’Audrey et de leur fille Pauline, même pas 2 ans et déjà des fourmis plein les jambes à l’idée d’accompagner la joyeuse troupe, présidée par Dominique, notre intendante. Les autres participants se prénomment, dans un ordre aléatoire Loïc-Ludovic, Laetitia, Laurence, Jean-Jacques, René, Benoît, Alix, Charles, Paul Christophe, Flore, Arthur, Benjamin, Brigitte, François, Isabelle, Jeff et Annick ces derniers sont nos gracieux hôtes de Freychenet, Orianne, Edouard, Sandrine et Sylvie. Et l’âne dans tout ça ? Charlot ? laissé en chemin chez son propriétaire, après un Giro en Haute-Ubaye en demi-teinte, Mainon ? mis en retraite anticipé pour jeu déloyal, Inmenso ? de toue façon trop de route pour espérer fouler les Pyrénées. Bon, pas d’ami facétieux à sabots alors, et une organisation revue en conséquence. Pour s’échauffer, on part marcher dans les gorges de Péreille c’est presque pareil. Un nuage tout blanc nous protège des rayons traitres du soleil, et nous dévoile par petit bouts un sentier qui longe d’abord une rivière, s’infiltre dans une forêt mousseuse ou bien doit-on dire moussue » ?. Ça monte, ça descend, bref, nous sommes en Ariège, n’en déplaise aux esprits grincheux qui trouvaient que ça ressemblait beaucoup à la Suisse Normande. Le midi, on pause dans un hameau qui donne des envies de retraite spirituelle. On papote, on fait connaissance lorsque…ah le soleil !... ah non, des gouttes maintenant. C’est l’heure de monter en direction du château de Roquefixade, ses murs cathares accrochés à un piton de roc que dis-je, c’est un pic. C’était dur pour l’apercevoir - l’Ariège, ça monte, ça descend »……j’arrête - et, comme dans un rêve, à nos pieds, une vallée de pâtures façonnée par les hommes, les bêtes à cornes et le temps, se découvre bondieusement sous sa couverture laineuse. Au-dessus, la chaine des Pyrénées devrait se pavaner. On l’imagine suffisante et fastueuse avec tous ses sommets et toutes ses couleurs changeantes. Mais de spectacle il n’y aura pas, un rideau de lait est tombé sur les artistes, forcément déçus. Le temps de manger quelques graines, de mettre/d’enlever une couche, la caravane redémarre, et termine sa première étape par une descente dans un pré pentu et malicieux. La fromagerie en bas est fermée, mais du fromage, il y en aura pendant ce séjour. Et à tous les repas, merci aux régimes de Dominique et Jean-Jacques, lequel, en mangeant 100 grammes de fromage tous les matins et en supprimant le superflu, a bien meilleure ligne. Comme vous l’apprendrez, du fromage, de l’énergie, il en faudra dès demain pour l’étape dite de soudure et de cohésion » de l’équipe de joëleuses et joëleurs. L’ascension du chemin des Vulves » Freychenet → Refuge Pastoral au Prat Moussu, chez Jacques, plus haut, très haut, sur le Mont Fourcat. Dénivelé négatif dérisoire. Dénivelé positif ahahaha. Mardi 17 août Les recettes d’une journée de randonnée parfaite HCE 1-une équipe qui se réveille tôt, avec un mental de champion olympique au pied du mur. 2-un temps de merde pour pas trainer. 3-un parcours sans trop de croisements pour s’égarer et bien balisé suivez les vulves gravées sur les arbres. 4-une couverture nuageuse basse pour ne pas perdre de temps à observer les paysages pour les curieux il y a toujours les moteurs de recherche, ou mieux, l’imagination !. 5-assez de dénivelé pour ne pas se croire en Suisse Normande, dans les Ardennes, ou en Bretagne. Et pour cause, la pente sera longue et raide à faire braire de jalousie le jeune retraité Mainon. Voilà, il est même pas 14h30 heures qu’on a bouclé l’étape, tous bien arrivés dans un charmant et chaud refuge pastoral de montagne mais c’est quelle saison même ??. Notre hôte s’appelle Jacques, comme un air de Santa Claus. Il convoie gracieusement nos bagages dans un improbable 4-4 Lada. Au coin de l’âtre, autour de la cheminée, des chaussettes fument, des ronflements retentissent, des vaches indolantes s’invitent, les nuages paressent, on a bien envie d’écrire des poèmes, de se lire des histoires, de dessiner des lunes, de prier le soleil. Un peu à l’écart, Stéphane, le grand stratège des montagnes brumeuses, s’interroge. Ses traits sont tirés est-ce la fatigue ? se demande-t-il si sa fille Pauline tiendra le coup en montagne ? Ou bien élucubre-t-il sur la météo ? Pourquoi consulte-t-il fiévreusement et à toute heure une carte IGN du Haut-Queyras ? A-t-il repéré un maillon faible dans l’équipe ? Quelles leçons va-t-il tirer de cette journée de team building ? Vous le saurez en lisant le prochain épisode Et la lumière fut » Chez Jacques, Mont Fourcat → Montferrier → Étang de Moulzoune. Dénivelé négatif humide et un poil long. Dénivelé positif dans la joie et presque sans dégoupiller. Mercredi 18 août Il fait toujours pas jour lorsque Stéphane, le visage grave, fait sonner son héraut votre humble serviteur. La troupe, réveillée bon gré mal gré au son de tiens, voilà du boudin », se rassemble autour du guide. Un silence de mort plane, et le temps parait suspendu quand la sentence tombe, à la manière d’une guillotine bien graissée. Pas d’ascension du Mont Fourcat ! Nous sommes médusés, abasourdis. Jeff, qui nous a promis une surprise extraordinaire là-haut, est marri. Las, le nuage poisseux qui nous emprisonne depuis le début doit nous faire entendre raison à quoi bon entreprendre un sommet qui nous offrirait pour seul et triste paysage un blanc imbuvable ? Déconfits mais confiants dans les capacités de notre guide à nous conduire vers la lumière, nous entamons une descente au milieu d’une belle forêt de contes et légendes, où tous les carrefours se ressemblent, où il faudra parfois faire demi-tour, et où il sera demandé à Stéphane d’enterrer sa carte du Queyras, l’oubli restant préférable à bien des maux. C’est alors, que, débouchant du couvert des hêtres sur une route bitumée, nous retrouvons le soleil quelques centaines de mètres plus loin, dans un hameau isolé, aussi naturellement que s’il nous y avait donné rendez-vous. Nous sommes arrivés à Peyregade, au pied de la station de Ski des Mont d’Olmes, perchés plus haut tout autour de nous. Le Mont Fourcat doit bien rire à présent ! Mais qu’importe, puisque nous avons retrouvé la Lumière, et, abordée sans salamalecs par une hôtesse impromptue à la voix suave et nicotineuse, sommes convié-es à piqueniquer et à ronfler dans son jardin gracieux. Les appétits repus et les niveaux refaits, nous trépignons d’impatience pour remonter, peu après avoir traversé le village de Montferrier, vers l’étang de Moulzoune. C’est en suivant le ruisseau qu’il alimente, puis la route et ses grands lacets pour économiser aussi bien nos forces que les joëlettes déjà meurtries par l’accumulation des séjours, que nous envisageons le bivouac de ce soir par une route forestière sympathique mais pentu. Ça cravache, ça transpire, ça jure, ça rouspète, ça chambre, ça s’encourage, ça n’a plus de noix, plus d’eau, ça redouble d’effort et de cœur, pour décrocher un nouveau somment collectif de prestige, l’étang de Moulzoune. Quelle joie ! Le bivouac pousse comme dans un conte des mille et une nuits, et c’est autour du feu que les meilleures histoires et chansons réchauffent nos corps endoloris. L’apéritif est joyeux et abondant, le chili con carne préparé par Dominique notre présidente aimée divin, et les étoiles, invités par le soleil, nous honorent à leur tour par leur divine apparition. Dans une inspiration dont il a le secret, bravant les lois élémentaires de la gravité, Paul dresse un totem tout à côté du feu, vers lequel la troupe s’empressera d’adresser des prières intimes et, comme tout randonneur qui se respecte, d’y accrocher ses chaussettes, caleçons et autres petites culottes humides et fumantes. Puis, dans un silence merveilleux, nous nous endormons sous les étoiles. Faire caca au-dessus des nuages » étang de Moulzoune → Camping de Montségur. Dénivelé positif ça va. Dénivelé négatif technico-merdique, ou merdico-ludique, c’est selon. Jeudi 19 août Quelle nuit, quel réveil magique ! la brume et le djinn du Feu nichent tout autour, et ne semblent libérer nos âmes qu’à contrecœur, tout doucement. Nous remplissons nos corps d’ondes positives, de tartines beurrées, de café chaud et de thé sucré. Un peu de fromage pour certains. Il y a quelque chose dans l’air, les oiseaux semblent conspirer. Pas besoin de se le dire, on le sent… la journée s’annonce, pour une fois, ensoleillée ! Hourra ! Après des minutes d’incertitude à retrouver les crèmes solaire au fond des sacs, l’équipe est dûment briefé et se prépare, en professionnels avertis, au cul du camion pour viser un nouveau sommet sur la route du soleil. Rigoureuse et soudée par une discipline soviétique, élevée aux graines et en plein air le fameux label Rouge, notre équipe HCE, boosté par le soleil, fait le boulot ce jour-là. On y est ! Là-haut, les vaches nous offrent une place de choix pour y admirer les sommets environnants de l’Ouest en regardant le Sud, le malicieux Font Fourcat, le pic Han, le pic Galinat et le Pic saint Barthelemy. À l’Est, le Canigou nous rappelle la proximité de la mer catalane. Le nord est un tapis moelleux de nuages sur lequel nous nous endormons grassement. Il est midi, on a grimpé, on l’a bien mérité. La touch HCE tendre une bâche devant une chaise percée, avec vue panoramique sur les montagnes. Les architectes des villas de luxe s’en arrachent encore les cheveux Mais commmmmmmment font-ils ???? » Ce qui suit ne doit pas être montré dans les écoles de Joëlettes. En effet, peut-être ivres de soleil et rendus confiants par la promesse d’une nuit en camping avec trône, la troupe aborde en ordre dispersée une première pente herbeuse en apparence facile. C’est Benjamin qui nous rappelle qu’il est plus rapide, certainement plus rigolo, mais aussi incertain de descendre les quatre fers en l’air. Et pourtant il glisse bien », semble murmurer Galilée sur l’épaule de Stéphane. Faisant fi des évidences, notre guide rappelle les règles de sécurité en montagne. Il faudra rouler en ligne et se méfier de cette descente. Rompez ! Ce que personne ou presque n’a remarqué, c’est que Stéphane a remis la main sur la carte du Queyras, qu’il consulte compulsivement le mystère demeure et restera entier jusqu’à la fin du séjour. Hasard ou coïncidence ? Cette descente divergente et riante sera orchestrée par Jeff et Edouard. Nous quittons alors les pâturages sommitaux pour traverser, rapides comme des rayons de soleil, une forêt haute et majestueuse, un large marécage herbeux, suivie d’un jeu d’orientation entre de hautes fougères. Rechutes, roulades, rigolades, forêts, torrents, vaches, pipi, pause ! Après un ultime sentier qui ressemble à un très gros boudoir imbibé, nous retrouvons, tout en bas de la montagne, la route bitumeuse qui nous conduira jusqu’à Montségur. C’était finger in the nose » claironne Jeff. Quelques temps plus tard, à l’heure de l’apéro, le mot de la journée revient à Benjamin, qui accumule plus de gamelles dans sa vie que tous les amis réunis Comment j’ai trouvé la descente d’aujourd’hui ? Rapide et efficace ! ». Le temps de vider les bouteilles et fonds de cubi qui encombrent les caisses de notre très aimée présidente intendante, nous nous souhaitons bonne nuit. Qu’il fait bon dormir dehors, au sec, avec la satisfaction du voyage accompli et, niché quelque part dans nos rêves, l’espérance de nouveaux horizons. Le départ d’Audrey et Pauline » Camping de Montségur → Roc de la mousse → Fougax et Barrineuf → Camping de Montségur. Dénivelé positif finger in the nose. Dénivelé négatif Born to be wild - Vendredi 20 août La nuit fut calme et entrecoupée de doux ronflements de bœuf, d’ânes, et de crapauds à bob. L’éviction de l’ascension du Mont Fourcat oblige, Stéphane nous donne le plaisir de repérer une nouvelle ballade autour de Montségur, en direction du Roc de la mousse. C’est pourtant avec une pointe de tristesse que nous laissons repartir Audrey et Pauline à la pause ce matin. Cet épisode est une piqûre le temps des départs et des séparations arrive toujours trop vite ! Il faut pourtant continuer, ravaler ses larmes, porter ses pierres jusqu’au bout, et dévaler un beau sentier merdico-ludique, quelque part au milieu de la forêt du Corret. Plus bas, dans un pli de montagnes où les mousses recouvrent les racines aériennes des arbres, nous retrouvons le ruisseau de l’Hers, encore secret, avant qu’il ne devienne grand. La journée de marche se termine vite, sous le grand soleil et la bonne humeur. Durant la pause pique-nique, René est suspecté d’appartenir à la secte des graveurs de vulve ! Ah mais que veux-tu, quand on a l’esprit mal placé ! Après une bataille d’eau forcément bon enfant, où il faudra pas moins de 3 hommes pour faire goûter le lavoir à Lulovic, notre homme-mule, nous reprenons les voitures à Fougax pour retrouver notre cher chez nous, le camping communal de Montségur. Il est alors 16h4O quand Charles lance les hostilités en répondant à la question Qu’est-ce que tu veux boire ? » par un laconique Une bière s’il vous plait ». S’ensuit un début de soirée endiablée où tous les joëlleuses et joëlleurs s’essayent à différents instruments. Sous le patronage de la lune montante, Steph allume sa guimbarde, et la troupe s’agite, comme dans une transe hindoue ! Le complot Cathare » Camping de Montségur → Château de Montségur → Feu de joie. Dénivelé positif hihihi. Dénivelé négatif hahaha - Samedi 20 août C’est la der ! Pour des raisons que la raison ignore, cette matinée ensoleillée sert d’excuse à une pétanque où bons et mauvais joueurs coexistent, où les avis divergent, où on encaisse les reproches, où l’on accuse, où on s’emporte, où on rigole, où on s’aime, où l’on retrouve, entre deux éclats de boules, un sens à la vie. Mais des joueurs manquent. Ils arrivent, enfin, pour refaire la partie, cette fois autour de la table. C’est juré on ne se quittera plus, jusqu’à demain ! Direction le village de Montségur où la caravane HCE, en opération séduction auprès du grand public, remplit les bidons pour lancer l’assaut du château, haut lieu de la résistance Cathare contre les armées du Pape et de France. L’histoire refait surface, à l’endroit où le randonneur sieste honteusement. Invoquée par un vulgarisateur de talent, la terre peut témoigner de saisons de hauts-faits, d’amour et de cruauté les cathares furent, et disparurent. C’était il y a longtemps direz-vous, mais le souvenir de leur résistance héroïque contre un pouvoir totalitaire voulant imposer un passe religieux, lui, plane encore sur HCE. Pour pénitence, la troupe est envoyée faire ses ablutions au cours d’eau du Lasset, quelques kilomètres avant Montségur. Le feu de camp qui s’y allume est le témoin de nos dernières confidences. Dans ce récit on n’en apprendra rien ou si peu, car certains mots se consument aussi vite qu’ils nous consument, et ici retranscrits ne feraient que trahir l’émotion d’un moment, d’un regard, d’un rire ou d’une larme. Il est plus tard, et il fait bien nuit lorsque la montagne consent à s’éteindre, abreuvée de chants et de godets. La caravane s’ébroue une dernière fois, rugit, et repart, galopante et bruyante, dans son écrin de nuit. Et le suprême guide, perché sur le camion comme un cornac tirant les poils du dos de l’éléphant, de nous montrer une dernière fois le chemin vers nos duvets. Ce qui arrive le lendemain n’est pas dit dans cette histoire, car c’est déjà un peu la fin. Quand même nous sommes allés, avec les derniers résistants, taper une revanche de baby-foot chez nos géniaux hôtes Annick et Jeff, s’y refaire la nouille autour d’un café chaud-biscuits, puis sommes parti-es siffler quelques bières à Foix, et comme l’envie de terminer avec un mauvais jeu de mots. Mais je ne le ferai pas, c’est bien la première fois. François.
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qu est ce qui monte mais ne descend jamais